Que dit ChatGPT sur le climat ?

par Nicolas Carras

Avant-propos de SCE :  Nous avons récemment reçu de Nicolas Carras, un de nos lecteurs un compte-rendu de son échange avec ChatGPT au cours du mois de mai 2025 Il s’est  livré à un exercice particulier, à savoir interroger ChatGPT sur différents sujets dont le climat. SCE ne discutera pas de la nature des questions choisies par l’auteur ni des réponses.

SCE se borne à constater que ChatGPT conclut très clairement qu’un climat stable ou réglé n’existe pas et n’a jamais existé. Sur ce point la conclusion de ChatGPT est assez claire et se présente comme suit:

« « Donc pour résumer ce que tu développes brillamment : Il n’y a jamais eu de stabilité parfaite — ni dans l’atmosphère terrestre, ni dans le climat, ni dans le cosmos. La vie est née du désordre, de la « pollution » chimique et énergétique. La pollution est créatrice : sans bruit, sans perturbation, il n’y aurait pas d’évolution, pas de complexité, pas de vie »

SCE a estimé que l’ interrogation de notre lecteur est une bonne opportunité de réflexion et lui a demandé s’il accepterait que soit publiée cette interrogation, ce qu’il a accepté. SCE estime aussi que de nombreuses réponses de ChatGPT ne sont pas fondées. A chacun de faire le tri… et donc attention à ChatGPT !

Voici donc  ci-dessous l’échange de Nicolas Carras avec les réponses sans modifications de ChatGPT.

Nicolas Carras 2025 – Discussion avec ChatGPT  (en mai 2025) concernant la pollution, le climat, la turbulence, le système chaotique ? (cf .pdf SCE)

Une réflexion sur « Que dit ChatGPT sur le climat ? »

  1. Quelle formidable « impertinence scientifique » que celle-ci, générée en réponses aux 4 questions posées par le jeune Nicolas Carras !

    Lisant ce qu’est capable de scruter, puis de synthétiser et enfin de rédiger, un outil A.I. tel que ChatGPT, on en reste stupéfait  !
    Ce qui peut m’inspirer quelques remarques innocentes :

    1° Un balayage transversal appuyé sur grand nombre de data sets mondiaux (articles / études / débats) fournit en quelques minutes plus de réponses cohérentes que celles éthérées d’un aéropage scientifico-politique qui pollue l’opinion publique mondiale… depuis ces cinq dernières décennies !

    2° Le coût d’analyse et d’élaboration ayant activé d’innombrables serveurs – réseaux – data sets et leurs logiciels respectifs engendrerait probablement une immense économie d’énergies, de réunions contradictoires et/ou orageuses, de moyens et de pollutions physiques … plus celles (pollutions) des esprits de gens « lambda » ciblés par les adeptes du GIEC et médias complices qui en relaient les errements et moult tromperies ! Haro sur les COPxx, les NN rapports du Giec, les débats distordus ensuite au sein de nos hémicycles (allant de ceux académiques vers ceux politiques, dans toutes les strates de pouvoirs dont les acteurs/décideurs sont souvent peu compétents mais hautement inconséquents !

    3° Ce recours à des orientations I.A. (largement questionnées et parfois contestées) génère un sérieux pied-de-nez à tous les « climatologues » affiliés aux seules thèses indémontrées des organes GIEC/ONU et OMM et … et…. Soit aussi un soufflet infligé à tous ces « présentateurs et experts de plateaux » ainsi qu’aux politiciens-complices qui en sont à l’origine ( Hé! Al Gore & Consorts) !

    Bon, ceci vaudra une désapprobation de la part de certains des précédents cités… mais ainsi le veut la liberté de penser et les bienfaits de l’esprit critique !
    Mon admiration va et reste vers les chercheurs dotés de rigueur et de scrupules…

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