CONTROVERSES d’un « réchauffement lié au CO2 » (anthropique et/ou naturel)

par Emmanuel Simon, quelque part dans une UE qui tend à chavirer,
25 février 202
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D’autres constats à évaluer très sérieusement ?

Plan 
1/ COÛTS réels exorbitants d’un « Green Act mondialisé » 
2/ VRAIES ou ‘FAKE PROOFS’ dans la « climatologie GIEC » ?
3/ 135+ Papers Find Extremely Low  CO2 Climate Sensitivity
4/ How the Sun’s “seasons” affect our planet’s atmosphere 
5/ Quelques constats interpellants ?
6/ Notes

Avec une occurrence du terme « réchauffement climatique » = 28.400.000 sur Google, ne peut-on éprouver mentalement une sensation d’oppressionsinon encore suffoquer sous l’emprise dudit « dérèglement climatique » = 2.750.000 ? Devons-nous crouler sous ces allusions médiatisées ? Jusqu’à présent cela ne contribue pourtant pas à améliorer l’atmosphère d’une « chaleur humaine mondialisée » ! Ceci invoqué sans un humour déplacé…

D’oppression il est aussi question lorsqu’on observe l’usage systémique fait du leitmotiv « décarboner » et ses 310.000 résultats Google! Décarboner notre monde « du  CO2 » ? Avec ses déclinaisons et ses sous-entendus, ce terme est entré dans le Larousse et, au spirituel, il est cautionné par « l’esprit » d’une encyclique papale ! 

Pourquoi est-il communément admis de parler de ‘Fake Proofs’ en mathématique [1] or qu’on devrait s’abstenir d’en débattre en matière de « mathématiques modélisées » à propos du climat ?

Jurera-t-on de là que les ‘recherches environnementales’ lancées à tous égards constituent un gage réel de survie pour les espèces vivantes (dont celles de nos jeunes Homo sapiens) ? Parce qu’en dépit d’un « consensus scientifique » décrété via des médias peu rigoureux, la chose reste toujours sujette à de multiples controverses parmi le monde des chercheurs plus sérieux ! Une improbabilité chiffrée subsiste quant aux diverses causalités d’un réchauffement terrestre et de sa ‘durabilité spatio-temporelle’… QUI donc aurait déjà dressé un irréprochable bilan chiffré des ‘effets identifiables‘ sur le moyen-long terme, hors la pure spéculation tant idéologisée ? Aucune démonstration irréfutable n’existe (qu’au travers de « procédés & méthodes »… dont plusieurs furent contestés) ! Doit-on s’étonner que des proxies[2] divergent entre maintes ‘simulations officielles’ ex ante et les faits constatés/mesurés ex post ? La légèreté de beaucoup doit céder le pas à l’empirisme, qui reste ici de rigueur

Les trois aspects qui suivent interpellent quant à l’absence du questionnement qui devrait davantage animer les « décideurs de l’avenir du monde vivant et de notre jeunesse », cette dernière si prompte à manifester aveuglément en compagnie des Greta & Co (et de financiers opaques, tirant les ficelles dans l’arrière-plan).
* Le premier aspect requiert une compétence aiguë en macro-économie et en comptabilité publique, plus celle (de micro-économie) qui doit régir une vie pérenne pour toute activité d’entreprise !
* Le second aspect concerne la compilation d’études lancée grâce au site NoTricksZone  [[source ]]. Car leur travail – lucide et fouillé – met en évidence plusieurs « distorsions de modélisation » prévoyant une hausse de « T° mondiale moyenne » si tant que devrait survenir l’hypothétique doublement d’un taux  CO2 atmosphérique ‘moyen’ à l’horizon d’années ‘2xxx’ ! Remarquons encore ici que le terme « moyenne ou moyen » relève de conventions subjectives du langage, sans être l’exact reflet d’une réalité de nos faits terrestres. Faits illustrés à l’évidence par un « caractère régional et fort aléatoire » de récents phénomènes météos « refroidissants », ceux-ci illustrés par de multiples vidéos, en de multiples géographies ! [Note 5]
* Un troisième aspect nous est rappelé par l’un des articles récents de l’Institut Polytechnique de Paris : celui de l’influence solaire cyclique sur le climat terrestre !     

A chacun de nous de creuser ces observations avec assez de rigueur. Ce ne sont visiblement PAS nos politiciens UE (des élus inconséquents/incompétents ?) et leurs bureaucrates (passablement idéologisés !) qui prirent l’initiative de réfléchir sur ces trois aspects avant d’émettre leur hasardeux « Green Deal UE 2022-2027 » !


1/ COÛTS réels exorbitants d’un « Green Act mondialisé »   


1.1. Climat : Sur 28 ans, il faudrait dépenser 130 000 milliards d’euros ou 17 000 euros/habitant de toute la planète pour parvenir à la neutralité carbone ! 
écrit par Nicolas Lecaussin  ce 8 janvier 2022  [3]

[[ Depuis la Conférence mondiale sur le climat (COP 26) qui s’est tenue en novembre dernier à Glasgow, les États sont de plus en plus nombreux à afficher l’ambition de parvenir à « zéro émission nette » ou à la neutralité carbone d’ici à 2050. Cet objectif est censé permettre de limiter l’élévation de la température mondiale à 2°C voire 1,5°C d’ici la fin du siècle, comme le prévoit l’Accord de Paris sur le climat. Mais cela a un coût. Selon Bank of America [4], la neutralité carbone coûterait 150 000 milliards de dollars ou 130 000 milliards d’euros annuels d’ici 2050, un montant 65% plus élevé que le PIB mondial de 2019 (90 575 milliards de dollars), avant la pandémie. Soit 19 480 dollars ou 17 000 euros annuels par être humain ! ]]

1.2. La presse française avait aussi anticipé cette problématique. Ainsi :
[[ Les vrais coûts de la transition énergétique : emploi, pouvoir d’achat, investissements… Après une accalmie, les prix de l’électricité flambent à nouveau ces derniers jours en Europe et en France. Un avant-goût de ce qui nous attend avec la transition climatique, voir ici.]] 

1.3. Tournons-nous un instant vers le Fonds Monétaire International (IMF) :
[[ Abstract : The energy transition requires substantial amounts of metals such as copper, nickel, cobalt and lithium. Are these metals a key bottleneck? We identify metal-specific demand shocks, estimate supply elasticities and pin down the price impact of the energy transition in a structural scenario analysis. Metal prices would reach historical peaks for an unprecedented, sustained period in a net-zero emissions scenario. The total value of metals production would rise more than four-fold for the period 2021 to 2040, rivaling the total value of crude oil production. Metals are a potentially important input into integrated assessments models of climate change; voir ici. ]]  

Qui saura vraiment assumer de telles sommes ? Car il s’agit de fait d’un ENDETTEMENT ACCRU pour tous les Etats-membres de l’UE (dont BE – ES – FR – GR – IT … sont d’ores et déjà super-endettés p.r. à des normes non respectées du Traité de Maastricht 1992 ) !
 Amplifions-les à l’échelle mondiale… et à des taux d’intérêts plus élevés? Un rendez-vous catastrophe -un effondrement- bien avant 2050 ??

2/ VRAIES ou ‘FAKE PROOFS’ dans la « climatologie GIEC » ?

Bien sûr, une large place médiatique est offerte là aux idéologies mainstream vertes et à leurs affidés (des acteurs nullement désintéressés). Peut-être le spectre de la culpabilité originelle  ravage-t-il le milieu de ces nouveaux croyants à une vérité climatique irrévocable… à leurs seuls yeux ? 

Il est pourtant légitime d’interroger à quelle sphère de sentencieux se rattachent nombre de ‘climatologistes’ qui contribuent à propager des thèses et des actions contestables. Dans leurs pas, certains politiciens opportunistes tentent d’imposer cette obédience à tous et toutes alentours ! Sous l’effet d’une « force gravifique des foules humaines », notre monde occidental est ainsi plongé dans une forme endémique de paranoïa : plus d’une moitié de nos populations mondiales, gens désinformés et apeurés, en serait aujourd’hui atteinte… Ouch !

Ce site S-C-E (scientifiques scrupuleux) ET bien d’autres collègues compétents de par le monde ne cessent de documenter les pro/cons de l’antienne thèse CO2  = un RCA (AGW) influençant (ou si peu) notre climat terrestre [Note 5]. Par leurs efforts pédagogiques, ces académiques et chercheurs-là souhaitent convaincreplus lucidement nos « générations ‘Z’ et futures », ces fougueux jeunes en quête d’une clarté de leur avenir (voire ceux d’entre eux déjà embrigadés par leurs aînés, une catégorie loin d’être toujours rationnelle) !

La science exige de la part de chacun(e) d’exercer son sens critique, doublé d’un « sens du doute ». Je prends la liberté de résumer ci-après les diverses références apportées par l’une de ces nombreuses sources objectives… Voici donc :

Scrutant une très large littérature scientifique, le site NoTricksZone établit une impressionnante compilation [[ https://notrickszone.com/50-papers-low-sensitivity/ ]] d’études dont les « prédictions » sont on-ne-peut-plus contradictoires par leurs résultats CHIFFRÉS ! Reprenons-en la longue liste ci-après. Les hyperliens d’accès à ces études en sont partie intrinsèque. Les hypothèses de travail adoptées par ces différents auteurs sont là explicitement documentées… 
En cas de perplexité, merci d’aller les consulter directement pour identifier comment leurs « déductions » furent élaborées. Comparons aussi par auteurs/dates ? Sont-ce depuis lors des progrès résultant de leurs « modélisations * algorithmes », ou de simples variations d’hypothèses, voire encore l’influence de divers « facteurs exogènes » ?

Le droit à l’erreur est certes humain ; science et doute sont jumeaux… Que devrait en conclure une analyse par nos éminents lecteurs ?

3/ 135+ Papers Find Extremely Low CO2 Climate Sensitivity

(a) Quantified Low Climate Sensitivity to Doubled CO2 
(b) Non-Quantified ‘Practically No Effect’, ‘Close To Zero’ CO2 Climate Sensitivity
(c) CO2 Rises as Greenhouse Effect Forcing Declines (1980s-2014)
(d) Rising CO2 Causes Surface 
Cooling

(a) Quantified Low Climate Sensitivity to Doubled CO2 

Smirnov, 2018            (2X CO2 = 0.4ºC) (2X Anthro CO2 = 0.02ºC)
Smirnov, 2016           (2X CO2 = 0.4ºC) (316-402 ppm = 0.15ºC)
Florides and 
Christodoulides,2009
 (2X CO2 = ~0.02°C
Khilyuk and 
Chilingar, 2003
         (2XCO2 = <0.01°C)
Miskolczi, 2007         (2XCO2 = 0.24 K) 
Coe et al., 2021         (2XCO2 [400 to 800 ppm] = 0.5°C)
Schildknecht, 2020   (2XCO2 = 0.5°C)
Newell and 
Dopplick, 1979
          (2X CO2 = ~0.25°C )
Ramanathan, 1981   (2X CO2 = ~0.5°C)
Kauppinen and 
Malmi, 2019
              (2X CO2 = ~0.24°C, human contribution 0.01°C/century)
Idso, 1998                  (2X CO2 = ~0.4°C
Krainov and 
Smirnov, 2019
           (2X CO2 = 0.4°C, 2X anthro CO2 = 0.02°C
Stallinga, 2020          (2X CO2 = <0.5 °C)
Gates et al., 1981      (2X CO2 = 0.3°C
Gray, 2009                 (2X CO2 = ~0.4°C
Idso, 1988                  (2x CO2 = 0.4°C
Harde, 2014              (2X CO2 = 0.6°C)
Ollila, 2012                (2X CO2 = 0.51 °C
Feis and 
Schwarzkopf, 1981
   (2X CO2 = 0.00°C)
Lightfoot and 
Mamer, 2014
             (2XCO2 = 0.33°C)
Zdunkowski et 
al., 1975
                     (2X CO2 = <0.5°C)
Cederlöf, 2014          (2X CO2 = 0.35°C
Idso, 1980                  (2X CO2 = ≤ 0.26°C )
Harde, 2017              (2XCO2 = 0.7°C ) 
Schuurmans, 1983    (2XCO2 = ~0.3°C )
Kissin, 2015               (2XCO2 = ~0.6°C) 
Ollila (2019)              (2XCO2 = ~0.6°C)
Holmes, 2018                        (2XCO2 = -0.03°C)
Laubereau and 
Iglev, 2013
                 (+95 ppm CO2 = 0.26°C
Weare and 
Snell
, 1974                 (2X CO2 = 0.7°C, 6XCO2 = 1.7°C)
Rasool and 
Schneider, 1971
         (2XCO2 = 0.8°C, 8xCO2 = <2°C )
Lindzen and 
Choi, 2011
                 (2X CO2 = 0.7°C)
Kimoto, 2015                        (2X CO2= ~0.16°C
Ollila, 2014                (2X CO2 = ~ 0.6°C) 
Harde, 2016              (2X CO2 = 0.7°C
Bates, 2016                (2X CO2 = ~1°C
Evans, 2016               (2X CO2 = <0.5°C
Gervais, 2016            (2X CO2  = <0.6°C
Soon, Connolly, 
and Connolly, 2015
   (2X [400 ppm] CO2 = 0.44°C
Reinhart, 2017          (2X [400 ppm] CO2 = 0.24°C
Balling Jr, 1994         (2XCO2 = <1.0°C
Bellamy and 
Barrett,
 2007
                         (2XCO2= <1.0°C
Kauppinen and 
Malmi, 2019
              (2X CO2 ≈ 0.24°C
Ollila, 2019                (2XCO2= 0.6°C
Smirnov, 2020          (2XCO2= 0.6°C) 
Abbot and 
Marohasy, 2017
        (2XCO2= <0.6°C
Lindzen, 1994           (2XCO2= 0.5-1.2°C, negative feedback from water vapor, cloud) 
Scafetta et al., 2017              (2XCO2= <1.0°C
Smirnov, 2017           (2X CO2 = 0.4°C ) 
Gray, 2018                 (2XCO2 = 0.5°C
Stefani et al., 2021    (2xCO2 = 0.6 to 1.6°C)


(b) Non-Quantified ‘Practically No Effect’, ‘Close To Zero’ CO2 Climate Sensitivity

Les références qui suivent permettent à chacun d’y pointer par hyperlien ! 
Drotos et al., 2020  // Clark, 2013   //  Nahle, 2011   // 
Ångström, 1900 as translated/interpreted in Stallinga, 2020  // Wong and Minnett, 2018   // Chillingar, 2009   // Holmes, 2019 
Kim and Lee, 2019  // Fleming, 2019  // Dunbar, 1976 
Miskolczi, 2010  // Lightfoot, 2020  // Van Brunt, 2020 
Kramm et al., 2017  // Kennedy and Hodzic, 2019 
Gervais, 2014  // Manheimer, 2016  // Soares, 2010 
Möller, 1963  // Lightfoot and Mamer, 2017  // Singer, 2006 
Willett, 1974 // Miatello, 2012  // Varotsos and Efstathiou, 2019 
Sagan and Mullen, 1972  // Lightfoot and Mamer, 2018 
Robertson and Chilingar, 2017  // Oliver, 1976 
Vares et al., 2016  // Davis et al., 2018  // Ollila, 2019 
Haine, 2016  // Easterbrook, 2016 // Koutsoyiannis, 2021Jelbring, 2003  // Clark, 2010  (full paper) // Ramanathan et al., 1989 
Stallinga, 2018  // Davis, 2017  // Khilyuk and Chilingar, 2006  (full
Newell and Dopplick, 1970  // Smirnov and Zhilyaev, 2021 
Allmendinger, 2018  // Laubereau and Iglev, 2018 
Manabe and Möller, 1961  // Libby, 1970 Berry, 2019Chilingar et al., 2014  // Liu and Chen, 2018  // Ludwig et al., 1973 
Allmendinger, 2016  // Singer, 1976  // Kauppinen et al., 2014 
Irvine, 2015  // Ellis and Palmer, 2016  // Reilly et al., 1989 
Wagoner et al., 2010  // Seim and Olsen, 2020  //
Mulholland and Wilde, 2020  // Arrak, 2011   // Robock, 1979 
Fang et al., 2011  // Hertzberg et al., 2017  // Sawyer, 1972 
Gerlich and Tscheuschner, 2009  // Gerlich and Tscheuschner, 2010 
Miskolczi, 2014  // Ollila, 2013  // Dyson, 1977 
Hertzberg and Schreuder, 2016  // Avakyan, 2013  // Zhao, 2011 
Allmendinger, 2017  // Fleming, 2018

(c) CO2 Rises as Greenhouse Effect Forcing Declines (1980s-2014) 

Cess and Udelhofen, 2003 //  Song et al., 2016
Swift, 2018 // Kato et al., 2018

(d) Rising CO2  Causes Surface Cooling 

Choudhury and Kukla, 1979 // Idso, 1984 // Ellsaesser, 1989
Zhang et al., 2020  (full paper) // Bryson and Dittberner, 1976
Schmithüsen et al., 2015  // Sejas et al., 2018

4/ How the Sun’s “seasons” affect our planet’s atmosphere 

Pierre Henriquet Doctor in Nuclear Physics , 
INSTITUT POLYTECHNIQUE DE PARIS 


January 19th, 2022    Key takeaways
 

  • The Sun has an impact on its immediate environment and on more distant planets, but also on the entire region of space surrounding our Solar System, which is called the heliosphere. 
  • There are various consequences of the interaction of this flow of solar particles with the Earth’s magnetosphere; one of the most beautiful being the Northern Lights. 
  • A negative consequence of this permanent bombardment is it that it can prematurely age satellites and even lead to them failing because they are highly exposed to solar wind particles in orbit. 
  • The Sun’s extremely high temperature allows for the formation of bubbles that ‘burst’ its atoms into a soup of nuclei and free electrons. This ‘plasma’ is very sensitive to electric and magnetic fields. 
  • Solar activity evolves periodically in a long cycle of about 11.5 years, passing through a maximum of activity and a minimum. These can be referred to as the Sun’s ‘seasons’ (voir ici).

5/ Quelques constats interpellants ?

5.1. Le slogan médiatisé de « consensus scientifique » en prend ici un sacré coup ! Tant en matière de CLIMATOLOGIE qu’en l’actuel contexte sanitaire du SRAS-COV2, une rupture d’adhésion à la probité intellectuelle peut « ruiner la science » au profit de sombres desseins financiaro-politiques !  

5.2. Toute « modélisation climatique » prête à de larges choix d’hypothèses, d’algorithmique, des ‘data sets’ retenus, des valeurs initiales adoptées et bien sûr d’une interprétation ‘circonstancielle’ des résultats obtenus … Est-ce toujours dans le respect de la précédente probité ?

5.3. L’inconséquence des mesures « greenwashingforcées par des lobbyists & décideurs de l’UE » se paiera très cher pour tous nos citoyens du continent. Mesures également alignées par les USA en 2021, elles affaiblissent tout l’Occident et ses alliés socio-économiques, face au reste du globe ! Au profit de qui d’autre sera-ce alors ?

5.4. L’extrême focalisation politico-médiatique sur le seul CO d’origine anthropique et la T° (dite globale) occultent fâcheusement les apports positifs d’autres recherches toutes aussi pertinentes : celles sur l’influence solaire, celles d’une lente modification des courants océaniques (thermohaline) et des échanges océans-atmosphère, celles aussi de la tectonique et ses imprévisibles tsunamis (Tonga, dernier exemple en date), puis ce volcanisme sous-marin, etc…
Sans oublier ici l’indispensable contribution socio-économique grâce aux industries et aux services développés au travers de UE qui contribuent au bien-être général (et autant à la subsidiation de la R&D…) !
  
5.5. Tous ces aspects sont autant de « poires pour la soif de savoir et de vivre » ! Tandis qu’aucun parmi nos « climatologistes patentés GIEC » n’oserait vraiment affirmer (face aux micros) qu’IL ne sait pas en quoi notre hyper chaude étoile agira ‘quantitativement‘ sur notre petit climat du globe d’ici 2050-2100 !
Les éruptions et tempêtes solaires ou autres phénomènes complexes (ceux hors nos yeux citoyens) sont-ils donc réservés à de seuls « Pr. Tournesol » et auteurs de science-fiction ? Tandis qu’une variation de taux ‘jugée de trop’ de cette petite molécule CO2 serait capable d’entraîner le pire pour notre destinée terrestre ??? Théories de collapsologie à l’oeuvre,  certes, mais cherchons-en plutôt la résorption avec plus de rigueur ! 

5.6. Enfin, à destination de nos lecteurs climato-réchauffistes toujours pas convaincus du besoin de réviser leurs dogmes, il leur reste à méditer sur cette autre série d’articles « peer-reviewed » de la même source NoTricksZone (Climate and energy news from Germany in English – by Pierre L. Gosselin ).

6/ NOTES

[1]  « ‘Fake Proofs’ math » Faites-en une rapide recherche via Google ? 

[2]  [[ En sciences sociales et dans les sciences expérimentales, notamment pour des applications statistiques, un proxy ou une variable proxy (au Québec, la traduction recommandée est variable de substitution ou variable substitutive) est une variable qui n’est pas significative en soi, mais qui remplace une variable utile mais non observable ou non mesurable. Pour qu’une variable soit un bon proxy, elle doit avoir une bonne corrélation, pas nécessairement linéaire, avec la variable utile. Cette corrélation peut être positive ou négative, voir ici]].

[3]  Directeur de l’IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l’iFRAP {(Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques)}, fondateur de l’association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques (ici). 

4]  Bank of America: ‘Net zero will require $ 5tn  (= trillions de dollars or 10^15) investment every year’ 
 By Will McCurdy  18/10/2021  

[5]  Tandis qu’à Genève, l’OMM (un gros organisme affilié à l’ONU…) se complait à diffuser ses « constats spécieux d’une T° ++ », on lit p.ex. d’eux :

* 19 janvier 2022 : Malgré un réchauffement légèrement moins prononcé en 2021 sous l’effet du courant froid de La Niña, l’année dernière a été l’une des sept plus chaudes jamais observées, a annoncé mercredi l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
 * 29 décembre 2021 : Retour sur l’année 2021 : Action climatique ou bla-bla-bla ? (y voir leur photo ‘scientifiquement probante’ et la vidéo de leur SG Guterres ?)  [[ Cette année, un nouveau flot continu de rapports soutenus par les Nations Unies a renforcé un message brutal : le changement climatique causé par les êtres humains est une menace urgente, voire existentielle, pour la vie sur Terre, ici.]]

Curieusement, une sorte d’omerta règne plutôt de la part de ces mêmes organismes envers les « cas météorologiques inverses », ceux-ci régionaux, erratiques, mais répandus à travers tout le globe terrestre ! Voici donc, en un recueil de cas « frappants » ce dont ces mêmes organismes oublieraient de nous parler ‘scientifiquement’..

Recherchons via :
 
https://www.youtube.com/results?search_query=neige+2022+snow

Heavy Snow Storm is underway in Tabuk, Saudi Arabia (Jan.01, 2022) 

Istanbul paralysée ! La Turquie n’a jamais vu une telle chute de neige. 

Une tempête de neige « historique » déferle sur le nord-est des Etats-Unis

Une neige incroyable à Jérusalem (Al Quds) et une folle tempête a frappé Gaza, Palestine 
The latest instance of heavy snowfall in Jerusalem happened on December 13, 2013, when up to 28 inches (700 millimeters) of snow fell on the city (
ici). 

Une énorme tempête de neige a transformé Athéna en ville fantôme ! 

Horreur, le Japon est arrêté ! Il n’y a pas de fin de neige. Chutes de neige au Japon. (2022 et 2021) 

Le ciel attaque l’Australie! Une tempête de grêle effrayante e des vents terribles frappent Canberra.

Le premier moment où une terrible tempête de neige est arrivée en Pologne, Cracovie

La plus grande tempête de neige historique qui a enterré des maisons et des voitures, en Californie

Apocalypse en Russie ! ⚠️ Voitures et maisons disparaissent enterre Sakhaline.
– 40°C ! Un blizzard incroyable a frappé la Russie ! ⚠️ Les montagnes enneigées ont enterré Moscou ! 

Tempête de neige effrayante à Toronto, Canada (17 janvier 2022) 

Snow 
Milan italy (12/2020) 

Timelapse of Colorado snow storm – March 2021 

Timelapse of epic winter snow storm Sweden january 2021