L’ANTI-SCIENCE et névroses induites dans notre société ‘désinformée’

par Emmanuel Simon, quelque part dans une UE qui tend à chavirer,
22 octobre 2021

L’intitulé est-il tant éloigné des contrecoups endossés par les populations du fait d’entendre sans cesse des ‘thèses environnementalistes’ contestables, médiatisées sur une large échelle ? Car la problématique ambiante ne se limite plus à un comportement isolé de ‘paranoïa’, elle est largement devenue ‘sociétale’ ! L’orchestration médiatique de rumeurs « ouvrant le rideau sur la COP26 » à Glasgow exacerbe l’inquiétude parmi ces populations préalablement apeurées. Définitions indispensables [1]. 

 

1/ Atmosphère générale
2/ Glissements de disciplines scientifiques vers des extrêmes
3/ D’idéologies floues vers leurs effets pervers
4/ La distorsion des faits sera-t-elle durable, face aux réalités ?
5/ Neuf éléments de conclusion (puis celle générale) !
6/ Notes (et définitions indispensables)

1/ Atmosphère générale


L’humanité se trouve submergée par la communication de thèses pessimistes – de calamités relatées – de fake news qui, toutes entremêlées, provoquent l’anxiété collective ! Des psychologues le confirment : un profond mal-être atteint la jeunesse (en tous pays, pas uniquement en suite aux confinements covid). Ajoutons-y l’état d’esprit des adultes, harcelés par des slogans prétendument sécuritaires (sur leur santé ET sur le climat, ET sur l’environnement, etc.) ! L’évidence en éclate vite à la lecture de nos médias dominants (‘mainstream’) et même de revues commerciales dites ‘scientifiques’. [8] 
 
Anxiété ? Qui a p.ex. gardé à l’esprit les ravages psychologiques et socio-politiques de la crise belge « de la dioxine » en 1999 ou celle – ESB ’90s mondialisée – du prion associé au nom de Creutzfeldt-Jakob (maladie/disease) ? (ici) .

Vingt après ces circonstances, nous basculons vers des formes d’obscurantisme [2]. Notre société devra-t-elle balayer  d’innombrables conquêtes d’une ‘Europe des Lumières’ et celles des sciences/technologies, mais au profit futur de QUI ? Le phénomène affecte même les « élites » de la société. Cet avenir obscurci touche nombre de domainesAu-delà des « sciences de la vie », de la santé publique et d’une climatologie planétaire, le malaise s’étend maintenant à une remise en cause de la contribution énergétique au progrès social. Ce facteur humain est nié, or qu’il reste essentiel à l’équilibre de nos vies et du monde entier !

Où restent de la sorte la probité intellectuelle, la raison et la rigueur parmi un fatras d’agissements qualifiés ‘environnementaux’, apparentés à de la « nouvelle croyance » ? Sans répit, des milieux activistes influencent les foules, dont 30% ou plus vivent sous la hantise d’un pire climatique à venir et de pronostics désastreux associés (ainsi en est-il aussi du mental de nos gouvernants subjugués)… Parfois mal conseillés ou aveuglés, ces gouvernants influençables ou ceux dogmatiques ont planifié d’immenses et coûteux projets aux effets flous, inconséquents, et à une échelle mondialisée ! Résolutions arbitraires prises à la COP21 de Paris 2015 ? Un Green Deal de l’UE à 1.000 milliards d’euros et coûts collatéraux ? Prosternations politiques face aux gesticulations d’une Greta déifiée ? Oui, ces actes sont inconséquents, quand leurs effets induits, qu’ils soient de nature socio-économique, géopolitiques et autant culturels nous entraînent vers où ces gens-là ne se risquent pourtant qu’à nous promettre de radieuses perspectives (fort lointaines). Pronostics sans guère de crédibilité scientifique fondamentalement étayée, ni une publication claire de faits et chiffres d’emblée vérifiables ! QUI sont vraiment « ces gens-là » ??
 
Au-delà de ce ‘semblant’, nous observons que leurs actions sont menées de manière quasi irréversible (aller dans un seul sens). Envisager l’alternative ou un réajustement décisionnel frôlerait-il parfois leur mental, quoiqu’il puisse advenir ‘après la mise en oeuvre’ ? Agissant de surcroît avec un rapport de force peu démocratique et usant vite de « pouvoirs coercitifs », ce que sont les ‘présupposés’ de ces « élites » et d’activistes étrangers non-élus prend la forme d’orientations inaltérables envers le reste de nos populations !
 
Ces mêmes pouvoirs obtus osent-ils vraiment invoquer là des « stratégies à finalités durables, humanistes » ? Que d’intérêts flous et de motivations purement idéologisées y sont à peine masqués !

2/ Glissements de disciplines scientifiques vers des extrêmes 


Été 1969 : en un défi concret et positif, défi lancé par des hommes de science et leurs collègues technologiques (plus ceux financiers), l’homme posait le pied sur la Lune. Hourra eut dit Jules Vernes ! Tandis qu’en 2021, certains illuminés croient durablement à de fake-news d’alors… et pour d’autres cercles d’ahuris la Terre devrait d’évidence être plate ! [7] 
Sur leur lancée historique, les organismes officiels mis en place durant les années ’60s (NASA et al.) s’aventurent jusqu’à vouloir ‘contrôler demain‘ la trajectoire de certaines comètes voyageuses. D’autres parient d’aller exploiter des ressources minérales lunaires (ou autres astéroïdes lointains) dont la Terre dit-on pourrait manquer un jour très prochain… L’espace ne présente effectivement aucune borne économique, certes avec des sondes et des satellites élaborés qui ont fait leur preuve. Au-delà, malgré les progrès spatiaux et un brin de science-fiction motivante, réfléchissons-y peut-être doublement ? 

Années 1960-70 : des théoriciens relancent les vieilles théories biologiques et/ou celles du « naturalisme ». [3]  Là reviennent les idées (issues aux 18e – 19e) des Malthus – Ernst Haeckel  – et d’autres. Elles furent remises au goût du jour par Paul Ehrlich (s/convictions néomalthusianistes), théories adjointes aux dérives ultérieures vers une « économie écologique » promue par divers milieux. Font depuis lors florès les thèses justifiant une (inéluctable?) décroissance démographique pour les uns et une décroissance socio-économique déjà bien lancée par d’autres ! [4] Si Mao s’y était essayé jadis, la Chine d’aujourd’hui en affronte de terribles désagréments humains différés… Allez donc y voir ?
   
D’un fondement de ‘science naturaliste‘, tout à fait utile et respectable, parfois mêlé d’un zeste d’utopie, plusieurs activistes US et d’Europe militent avec renfort de cris pour transformer les concepts premiers en une forme radicalisée : « Deep Ecology – Écologie politique ». La période soixante-huitarde secouée et les convictions d’alarmistes d’un Club de Rome (leur ‘Halte à la croissance’ – 1968) virent fleurir les actuels ‘réseaux politiques’ et une myriade d’ONGs activistes. Mais un Club de Rome dont les prédictions ne sont guère concrétisées factuellement en ce 21e… Tandis que ceux-là se trouvèrent adoubés par d’opportunistes politiciens et d’opaques financiers étroitement liés à des dirigeants aux visées mondialistes (voir l’actuelle ONU, relire l’usurpateur Al Gore aux USA, et de nombreux gouvernants alignés dans une UE peinte en vert, …plus les discrets marionnettistes de la jeune déesse Greta) ! La gouvernance mondiale, leur ultime dessein, puis plus encore et par QUI ? Pour eux tous le principe de « subsidiarité » n’existe pas, la soumission serait de mise ! (Figure 1).


Fig. 1 Emprunté à un cartoonist US (comme ils savent en produire de bons!)

La contribution de la fée électricité au développement des populations est historiquement prouvée. Partout l’énergie électrique engendre des progrès fonctionnels à la vie. Merci à ces Volta et Benjamin Franklin, à Zénobe Gramme (BE), aux Tesla, Marconi et leurs nombreux suivants. Chimie et physique couvrent là des besoins énergétiques qui vont croissants, mondialement. A l’opposé, il se trouve de puissants et parfois violents mouvements « anti-tout » et % d’électrosensibles qui exigent de subordonner toute la civilisation à leurs lubies et veulent prôner un retour au dénuement énergétique de nos ancêtres occidentaux ! Faudrait-il ainsi accepter sans en débattre leurs utopiques ‘repli sur soi’ et jusqu’à adhérer aux sectes du survivalisme ? [5]   
          

3/ D’idéologies floues vers leurs effets pervers 

Rappelons d’abord celles climatiques ? 
Idéologies intimement accouplées aux thèses GES et ‘CO2 anthropique’, si chères aux adeptes d’un irréversible « réchauffement climatique RCA/AGW ». Leurs agissements pullulent et tous revendiquent une « décroissance ». Théories qui eurent tôt leurs promoteurs ‘scientifiques’. Ainsi un Nicholas Georgescu-Roegen 1906-1994, d’abord Docteur en statistique à la Sorbonne (1930), puis prof d’économie à l’université US de Nashville. Auteur de The Entropy Law and The Economic Process, Energy and Economic Myths… mais aussi d’un ‘Bioeconomics‘ (ici).


Ce Pr. G-R fut un dissident radical contre la science économique dominante de l’Occident… Sa carrière subit des bifurcations …idéologisées… et ses suiveurs sont connus (p.ex.: Jeremy Rifkin & Co)… aujourd’hui consultants de quelques ‘grands mondialistes’. L’académique G-R fut adulé par les ONG altermondialistes, par d’autres pairs académiques, et même par l’actuelle ADEME française (Agence de la transition écologique dont on lit régulièrement les postures vertes adoptées à l’égard d’un ‘objectif’ : « la décarbonisation du monde »). Le leitmotiv d’une « neutralité carbone 2030-50 » anime d’innombrables discours politico-commerciaux… et ceux des médias aveuglés ! 

3.1. Quelles idées folles de décroissance(s) ? 
On les voit énergétiques – de la consommation au sens le plus large – au profit d’une mobilité dite ‘douce’ – d’une durabilité à garantir sans failles pour nos produits manufacturés, etc… Les mêmes adeptes ignorent-ils l’existence de la méthodologie Six-Sigma pour le contrôle de qualité des fabrications humaines ? (d’évidence pas celles du low-cost) ! Quand ces gens-là argumentent (beaucoup par mots et slogans), nous ne les entendons guère fournir de chiffres pertinents, hors ceux projetés à partir de leurs « macro-modèles ». Aurions-nous ainsi noté durant la période covid19 mondialisée de 2020-21… que ces thèses-là font face à quelques démonstrations renversées, à la fois sur des errements avérés en matière de prophylaxie / santé autant que par les drames économiques engendrés partout dans le monde (sauf chez les croyants durs…) ! Ah oui, affirment les prédicateurs astucieux : « il y aura notre monde d’après ». Forcément ! Lequel, en termes vraiment concrets et sur des modèles de vie garantis pérennes ? 

Contre-exemple 1 : alimentaire parmi d’autres, sera-ce cocasse ? « Haro sur l’élevage pollueur », hurlent ces activistes patentés (à cause des émissions CH4, de l’eau nécessaire aux cultures, les abattoirs, etc.). Si « Plus de vaches – porcs – chèvres – brebis – volatiles… » : tout devra-t-il dorénavant être subordonné aux slogans végans et au profit d’une viande artificielle mijotée en méga-laboratoires pratiquant une culture ‘industrialisée’ ? (Figure 2). D’où va-t-on ensuite extraire notre lait, les fromages, les oeufs et d’autres produits alimentaires tant essentiels à la vie de notre espèce homo-omnivorare ?
Que va-t-on faire pour ensuite ‘recycler’ nos courageux agriculteurs, ces travailleurs déjà tant marginalisés par des inconséquents verdâtres ? Ces miraculeux adeptes réussiront-t-ils à interdire aux fauves, rapaces et crocodiles de se nourrir des pauvres gnous ou d’animaux lors de folles transhumances exigées pour la survie des espèces ? S’il faut revoir les règles de la nature, rappelons vite le Créateur ?

Fig. 2 : Empruntée à une propagande végé/végan

Contre-exemple 2 : lorsqu’on lit (e-mail reçu d’une grande banque) : « Pourquoi une banque durable? Il est minuit moins une pour la planète… blablabla » … Soit une pub lénifiante pour des produits du secteur financier, une pub qui se réfère à 5 documentaires choisis ‘dans le pur fil environnementaliste’. [6] 
Même laïus reçu de The Economist (abonnés) : « What should be prioritised in the race to avoid climate disaster? IT’S NOT too late to avert a climate disaster. The question is, how? ».
On finit par se convaincre qu’aucun domaine n’échappe aujourd’hui aux ravages ‘climatiques’, qu’ils soient en partie fondés ou surtout démesurément amplifiés pour les raisons idéologiques et/ou marchandes déjà soulignées dans cet article (et par bien d’autres observateurs) !

Contre-exemple 3 : les critiques (de Greenpeace et al) fusent à l’égard des « microplastiques, de 1µ à 5mm », de « métaux lourds et d’intoxications » dont les TRACES sont décelées dans les eaux, des aliments, terres et mers. Nouveaux risques toxicologiques et forcément alarmistes, très médiatisés… Tout ceci relève de NORMES (selon des seuils scientifiquement questionnables?). Va-t-on p.ex. devoir bannir le recours à ces précieux dérivés du pétrole (Bien sûr, jurent les mêmes opposants), afin de ne soutenir que les dogmes instrumentalisés en faveur d’un activisme vert ? Lisons des auteurs assez perspicaces pour savoir nuancer ? [9].
Où sont donc les substituts ou des recours bactériens qu’ILS (toxicologues & Co) suggéreraient pour remédier aux problèmes de fond ? Détruire est toujours plus facile que de construire ! Cherchons donc mieux : il existe déjà des opportunités documentées et subsidiées pour capter les polluants ; elles accaparent ces gros subsides publics y alloués, en dollars/euros)…

Contre-exemple 4 ? le refus des énergies nucléaires par nos « verts européens » peut conduire à la ruine socio-économique de l’UE sans attendre 2030-40. Illustration en chiffres, par cette vidéo du 5 oct. 2021 (durée 6′) : Le rebond – incontournable – du nucléaire dans le monde [Olivier Passet], ici.
Pourquoi les Européens ont besoin de l’énergie nucléaire :
 Un collectif de signataires, ministres des Finances, ministres de l’Energie et ministres du Climat et de l’Environnement de plusieurs pays membres de l’Union européenne qui s’en expriment ! 

Profondément réfléchis et exprimés avec de précieuses nuances : 

3.2.  « Science et idéologie » de Paul Ricœur (1913-2005)
L’article (relatif aux sciences sociales) fut écrit par un grand philosophe, professeur peu suspect de partialité intellectuelle… en une époque où certains de nos « chauds climatologistes actuels » en étaient encore au stade de leurs études secondaires ou pas encore nés ! Si le contenu raisonné vaut pour les sciences sociales, il peut se transposer à des sciences qualifiées ‘dures’ (avec nuances et correctifs d’usage)… Soit un exercice laissé à l’expérience de chaque lecteur ! – Revue Philosophique de Louvain  Année 1974 (14) pp. 328-356. 

Voici quelques éléments-clés extraits de cette longue réflexion du Pr. Paul Ricoeur, à destination de tout esprit indépendant : [[ * Aristote naturaliste (personne qui pratique les sciences naturelles…) * le phénomène idéologique (qui appelle la riposte du soupçon…) * onto-théologie (de Kant…) * la classe dominante * le pouvoir * le raisonnement (qui doit être total…) * le pluralisme d’idées * l’interprétation (rigoureuse) des faits * l’esprit critique * l’argumentation * la distorsion * la dissimulation * l’idéalisation (d’une définition à méditer !) * l’opinion * l’inertie mentale des groupes * l’appartenance * les technologies * la théorie des systèmes * le poids de l’histoire * l’utopie * « Tout savoir se laisse porter par un intérêt » (Hebermas) * la déontologie * exorciser les idéologies (sont-ce ici des voeux pieux?) puis tenir compte du fait que : « l’idéologie opère derrière notre dos plutôt que nous ne l’avons comme un thème devant les yeux » ]], ici. Ouch ! 

3.3. Effets pervers et fausse conscience (Joseph Gabel, New Delhi, 1986) : Cahiers Internationaux de Sociologie – PUF 1987 pp. 339-354
[[ On note une certaine convergence entre la théorie (marxiste) de la fausse conscience (falsches Bewusstsein) et celle de l’effet pervers. La conscience utopique est fausse conscience (Mannheim), elle est aussi caractérisée par sa tendance à méconnaître les « effets secondaires et composites » (R.Ruyer), autrement dit les effets pervers. Cette méconnaissance est la conséquence d’une perception non dialectique (réifiée) des faits sociaux ; ce qui explique, dans une certaine mesure, les échecs de l’utopisme politique]], ici
  

3.4.  Economic Facts and Fallacies:  growth and its opposite facts and figures  
By Thomas Sowell – Hoover Institution – Stanford University 
The Review of Higher Education by Peter F. Orazem , Johns Hopkins University Press  Volume 32, Number 3, Spring 2009  pp. 431-432
In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of its content: 
[[ Has two aims: to provide a list of widely held but demonstrably false economic beliefs and then to demonstrate their invalidity using hard facts. These economic beliefs come in six areas: the economics of cities, differences between men and women, differences among races, higher education, income inequality, and developing economies. He deals with each topic in a separate chapter]], ici.

3.4. The Facts of Economic Growth
Charles I. Jones – NBER Working Paper No. 21142 – May 2015
ABSTRACT  [[ Why are people in the richest countries of the world so much richer today than 100 years ago? And why are some countries so much richer than others? Questions such as these define the field of economic growth. This paper documents the facts that underlie these questions. How much richer are we today than 100 years ago, and how large are the income gaps between countries? The purpose of the paper is to provide an encyclopedia of the fundamental facts of economic growth upon which our theories are built, gathering them together in one place and updating the facts with the latest available data]], ici.

Dont ses conclusions à lire en p.71 ? Un lecteur obligeant voudrait-il comparer ces idées avec les faits vécus d’évolution 1915-2015 au travers de l’ex-URSS, de l’Inde des castes ou, toujours cruellement actuels, de nombreux pays africains en quête « d’aides cycliques à leur développement » ? 
Il n’y a pas de preuves aussi éclatantes que les revendications promulguées aux COPxx (dites climatiques ?) des pays « pauvres », dont plusieurs sont rongés par une corruption endémique, à vouloir capter $ Bn 100/an de l’économie occidentale, sous forme de rentes et subsides ‘annuels’ qui couvriraient de (présumés) effets du RCA/AGW et corrigeraient la hausse (?) des niveaux d’océans (d’où ces thèses onusiennes, martelées à l’appui d’attribution desdits fonds…) ! (Figure 3).


Fig. 3 : Empruntée à Julien Vidal ‘utopiste’ 30 mai 2019 

4/ La distorsion des faits restera-t-elle durable, face aux réalités ?

La pandémie d’idées reçues et de croyances en matières climatologiques et énergétiques va-t-elle évoluer comme celles des agents pathogènes en matière de la santé publique ? Lorsqu’on observe l’ampleur atteinte par la désinformation en diverses disciplines… et les flots qui noient d’autres d’études scientifiques, celles-ci plus rigoureuses mais non conformistes aux dits communs… on se doit de vouloir surmonter le profond malaise ambiant !

Présenter au grand public une version partielle, sinon tendancieuse, des phénomènes physiques réels est répréhensible au plan déontologique. Or c’est le quotidien médiatisé qui caricature sans répit l’état de la science exacte ! Rappel d’une liste exemplative sur leurs thèmes publiés sous [8].  


D’énormes intérêts financiers et politiques se déploient depuis plus de 30 ans pour façonner le mental des populations aux thèses alarmistes soutenues par certains ‘chercheurs-prosélytes’. Les sondages nous révèlent que l’anxiété ravage alors de 30 à plus de 50 % de gens… largement ignorants !
Nos jeunes – immatures et au parcours ludique volontiers contestataire – se laissent manipuler tels des marionnettes, tandis que nos partis politiques et l’enseignement en sont impactés (sinon sont  muselés). 
Quelles forces raisonnées pourraient renverser ou infléchir ces schémas mentaux altérés ?

Apprécier l’ampleur d’un problème et de risques y liés exige l’analyse globale de ses composantes. Or le monde actuel vit sous la tutelle des NORMES quantifiées. C’est-à-dire sous la coupe des forces et des travers du « vivre normativement ». N’est-il pas suspect de constater la révision (politisée) de ces normes allant en un sens toujours plus restrictif ? Exemples : en matière de ‘particules fines’ dans l’air et leurs effets sur le travail, comme cela vient d’être ré-édicté ? Et sur la vitesse de circulation réduite à 30km/h (ce qui arrange surtout certains milieux prétextant d’une sécurité accrue, hors des statistiques vraiment peu significatives qu’ils diffusent) ?


Qu’espérer en faveur d’un mieux déontologique ? (Figure 4).
Des scientifiques s’en expriment. Il me plaît à référencer ici ces académiques ‘d’esprit libre’ .  
 
« Science peut rimer avec conscience quand on est libre »  – Jean-Paul Bourdineaud 
Publié le 19/09/2021 : [[ le Pr Jean-Paul Bourdineaud, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, nous a accordé l’entretien. Professeur de biochimie et toxicologie environnementale à l’Université de Bordeaux, et éditeur associé du « Journal of Toxicological Sciences », et du « International Journal of Molecular Sciences », section « Molecular Role of Xenobiotics », il y aborde en profondeur des sujets fondamentaux comme l’enseignement en science à l’Université, les principes, les bases et l’esprit critique (…) :
[[ Science et philosophie sont unis dans ce debriefing où Jean-Paul Bourdineaud défend l’approche humaniste de la science et de la médecine pratiquée à l’IHU, évoquant le « matérialisme » en science opposé à « l’utilitarisme » anglo-saxon. Il revient en longueur sur la corruption qui sévit dans le système industriel, le rôle des médecins de plateau de télévision qui remplissent un rôle de commerciaux avant de jouer leur rôle de scientifiques]], ici.  

Fig. 4 Introduction à l’autodéfense intellectuelle (image empruntée à slideplayer.fr/slide/1539511)

Comment mourra le catastrophisme climatique ?
par Robert Girouard (Mythes, Mancies & Mathématiques) [[ le mouvement de lutte contre le « changement climatique » et à tout ce qui en découle – de la montée des océans jusqu’à l’injustice sociale en passant par à peu près toutes les calamités possibles et imaginables – s’inspire d’une idéologie que l’on pourrait appeler « catastrophisme climatique ». Pour les adeptes de cette idéologie millénariste, la planète se dirige vers une catastrophe certaine en raison des méfaits de l’homme blanc, capitaliste et accro au pétrole. Pour la sauver, il est impérieux de mettre en œuvre de vastes plans verts (Green New Deals) visant notamment la décarbonation de l’économie, principalement grâce à une transition vers les énergies renouvelables et à l’imposition d’une taxe carbone, ainsi que l’adoption de nouveaux comportements conformes à l’éthique écologiste ]]. 
Publié le 20 août 2021 par Benoît Rittaud  (avec 88 réflexions), ici.   

The Economist : The first big energy shock of the green era : 
[[ 
There are grave problems with the transition to clean energy power ]].

5/ Neuf éléments de conclusion (puis celle générale) !

Rapports GIEC ? « L’humanité au bord du précipice » (propos de climatologistes & médias)

5.1. La radicalité de certains « conseillers de décideurs », comme la censure intellectuelle qu’ils soutiennent, n’est pas compatible avec le besoin d’ouverture d’esprit d’un vrai scientifique et celui du respect de la démocratie ! Combat de David contre Goliath ?

5.2. La dangerosité des actes d’anti-science s’appuie autant sur le recours à des biais d’information qu’à des études et des sources douteuses. Se ressaisir, sortir de pis-aller exige des efforts dans la communauté des chercheurs, de nos jeunes apprenants ‘mis sous pression’ et plus largement d’une éducation solide des populations. Est-il trop tard pour corriger le tir ? 

5.3. En climatologie et domaines adjacents (énergétiques ou autres), de puissantes ONG usent d’un activisme médiatisé et de lobbying sournois pour orienter l’action politique. L’Occident ( l’UE ) devrait cesser de s’égarer en des orientations idéologisées qui nous mèneront vers un cul-de-sac !

5.4. Une certaine gent journalistique et médias de couverture jouent là d’influence vers l’opinion publique ou -pire- recourt à une désinformation avérée. Chaque lecteur en détient des exemples concrets.
Oserais-je suggérer une inflexion de la masse des médias et des professionnels dont l’orientation de carrière et/ou financière dépend de leur ‘attachement’ à des thèses ou partis-pris, joint à des ‘copinages’ déjà perceptibles ? 

5.5. Poussé à l’excès, l’ordre NORMATIF, éventuellement assorti de pénalités (ou d’une mise au ban de la société) acquiert un poids très préoccupant. Un jeu politiquement discutable consiste à « resserrer ces normes » au fil du temps, en restreignant ainsi les facultés d’agir autrement et de vivre en équilibre. C’est de la coercition à l’oeuvre, sur des présomptions de sécurité, mais d’une rationalité fort contestable !

5.6. Le formalisme décisionnel des projets politico-stratégiques ne s’appuie que trop rarement sur une ABC rigoureuse (Analyse des Coûts-Bénéfices *) portant sur l’évaluation d’efficacité future et l’espérance de vie estimée des actions décidées. La chose doit être précédée d’analyses plus sérieuses d’impacts identifiables (pas simplement en des ‘formules vagues’… mais en termes concrets) ! 
QUI s’y prête avec rigueur, dans l’ère fondée sur des idéologies ravageuses ?
(*) d’autres usent du terme ‘coûts-avantages’ ou ‘coûts-utilité’… 

5.7. La course effrénée à laquelle se livrent les centres de recherche internationaux (public et privés) en divers domaines sociétaux conduit quasi inévitablement à de l’hyperconcurrence et de possibles errements. Ils s’accompagnent alors de corruption et d’absence d’une déontologie professionnelle et/ou commerciale. Un respect plus strict de cette déontologie reste vraiment nécessaire !

5.8. On peut légitimement s’interroger sur l’usage fait du leitmotiv « Société de la connaissanceLifelong Learning » mis sur pied par la Commission UE’90s de Jacques Delors… Or qu’il trouva déjà sa véritable origine dans tous les siècles écoulés (cela dépendait évidemment de leurs milieux éducatifs et des peuples). Nombre d’entreprises réputées appliquaient déjà ces idées-là ! En tout état de cause, les dirigeants du Qatar (!) en ont initié des choix structurels depuis 2013, avec force de moyens ! De son côté, la dictature chinoise l’a très bien compris dans sa tentative militaro-économique d’acquérir une hégémonique mondialisée d’ici 2040… Un enseignement plus exigeant reste ici la clé de notre compétitivité ET celle d’une vie épanouissante pour le plus grand nombre !

5.9. Infléchir des schémas mentaux distordus relève de la gageure. La vérité finit heureusement par éclater… encore faut-il ne pas la museler d’autorité ! Quand, comment, où, grâce à qui/quoi libérer le savoir ? Ceci reste un mystère lorsqu’on vit uniquement de « croyances et ésotérisme ». Une prise de conscience s’opère toutefois parmi les populations qui disposent d’un niveau de savoir et d’intellect ad hoc. Chez celles-ci, opérer un volte-face sera plus probable. Dilemme : de quel poids d’influence disposent les gens conscients face à l’inertie, à l’ignorance, et aux distorsions mentales incrustées parmi nos populations, depuis quelques décennies, par ces idéologues patentés ?

Conclusion générale 

L’engagement politicien à vouloir « décarboniser le monde » fut-il élaboré avec toute la lucidité et la rigueur requises, en étant assorti de faits chiffrés ‘ex ante’, en tous les domaines qui en subiront les effets contradictoires ? Je me permets d’en douter ! 
Cette décarbonisation constitue-t-elle ainsi un gage de progrès pour l’Occident et ses cultures ? 
A chacun, lecteur conscient, de répondre sans faux-fuyants !


NOTES (et définitions indispensables)

[1] Quelques définitions fondamentales ?
antiscience
 a set or system of attitudes and beliefs that are opposed to or reject science and scientific methods and principles, ici.

[[ L’anti-science, ou antiscience en anglais, est une position qui rejette la science comme l’ensemble des connaissances et de découvertes de la nature, et la méthode scientifiquedont font partie les principes intangibles de réfutabilité, de non-contradiction et de reproductibilité1
Les personnes qui ont des opinions antiscientifiques n’acceptent pas que la science soit une méthode objective, ou que celle-ci génère la connaissance universelle. (…)]] ici.

Névrose (et phobies?) : [[ Psych., affections caractérisées par des troubles affectifs et émotionnels sans cause anatomique, et intimement liée à la vie psychique du sujet… Affection psychogène résultant d’un conflit inconscient entre les désirs du sujet et les interdits qui s’opposent à leurs réalisations« ]] (Virel Psych. 1977). 

Paranoïa ? [[ Certaines croyances et comportements sont souvent retrouvés chez les personnes présentant des symptômes de paranoïa : la méfiance, l’hypervigilance, la difficulté à pardonner, l’attitude défensive face à des critiques, la préoccupation de motifs cachés, la peur d’être trompées ou exploitées, ici. ]]   

Hystérisation : Fait de se laisser emporter de manière totalement excessive, voire obsessionnelle, à propos d’un thème d’actualité, d’une personnalité politique, etc. : On constate une hystérisation des médias sur certains thèmes sociétaux.  

[[ L’hystérie est un état psychique situé dans le champ des troubles anxieux névrotiques. L’hystérie est sans origine organique mais en dehors du contrôle volontaire de la personne, caractérisé par une hyper-expressivité des émotions, des troubles sexuels, et une angoisse extériorisée dans le discours]].  

[2] obscurantisme : Larousse [[ Opposition à la diffusion de l’instruction, de la culture, au progrès des sciences, à la raison, en particulier dans le peuple.]] Synonyme : ignorantisme

 (ou encore) D’obscurantisme et de lumières
La bibliothèque publique au Québec des origines au 21e siècle 
( Déc. 2016 , ISBN : 9782897238810 en pdf payant)

(ou encore) : Les Lumières face au retour de l’obscurantisme
Hors-série N° 32 du 01 février 2017 

[3] Faut-il être naturaliste ? À propos de : Daniel Andler, 
La silhouette de l’humain. Quelle place pour le naturalisme dans le monde d’aujourd’hui ?, Gallimard  par Florian Cova , le 15 juin 2016 
[[ Le naturalisme est une conception très influente aujourd’hui dans le monde scientifique. Et très controversée également : on peine à mesurer sa fécondité, voire à le définir. D. Andler, conscient de ses limites, en propose une version critique ]] (avec conclusion comportant d’utiles objections…), ici

[4] Une brève histoire de l’écologie politique en France 
Vincent Lucchese  (2019) 

Aux origines de l’écologie Patrick Matagne 

[5] Survivalisme dans le Larousse 2019: [[ mode de vie d’une personne ou d’un groupe qui se préparent à la survenue, à plus ou moins longue échéance, d’une catastrophe à l’échelle locale ou mondiale ]].

[6] Comment inquiéter, sur des bases imparfaites : Le film Chasing Ice met en images la fonte des calottes glaciaires (?) 
A Life on Our Planet, David Attenborough dépeint le déclin de la biodiversité 
Seaspiracy vous plonge dans nos océans, la soupe de plastique et la surpêche 
Blowout: Inside America’s Energy Gamble montre les coulisses de l’industrie énergétique 
Kiss the Ground aborde les conséquences d’une exploitation non durable des sols 

[7]  Mission Apollo 11 un « grand pas » dans l’histoire des fake news (Le Point, juillet 2019)
[[  
VIDÉO. Alors que la mission fête ses 50 ans, beaucoup de personnes continuent de penser que l’homme n’a jamais marché sur la Lune en 1969]]. 

Platistes : rencontre avec ceux qui pensent que la Terre est plate  
[[ Si les astronautes pensent avoir prouvé que la Terre est ronde, une communauté continue à croire qu’elle est plate. Surnommés les Platistes, ils sont de plus en plus nombreux dans le monde ]].
France Info , publié le 01/03/2020, ici

[8]  Recueil de sources & litanies environnementalistes (forcément toujours rigoureuses?)Celles-ci sont publiées via agences de presses, reprises par tous les médias (et des journalistes attitrés). Tel ce titre abscon : « Rapports GIEC = l’humanité au bord du précipice » ! Ces litanies trouvent fréquemment leur origine chez des organes « supra » (c-à-d l’ONU et ses multiples ‘filiales’ et dans l’UE…), autant qu’à partir d’ONG activistes (ex.: Greenpeace, WWF, Oxfam… y compris la production de films & youtube propagandistes)… mais aussi parmi des ‘ASBL militantes locales’… lorsque ce ne serait (pire?) le fait d’organes officiels et/ou de ‘recherche’ ayant pignon sur rue (ce qui ne les empêche pas de diffuser des aspects douteux clairement alarmistes, justifiant ainsi de leur propre  existence ou d’une quête de subsides accrus?)…

En une liste non exhaustive :   
Risques environnementaux impressionnants (dont les feux, les inondations sporadiques ou celles répétées mais jamais résolues)…, * Exigence sanitaire (sic) de placer des ‘capteurs CO2 dans locaux publics confinés (politique)… * Les ‘risques nucléaires’ (Tchernobyl ’86, Fukushima ’11, les déchets à longue demi-vie à recycler)…, * Une fonte massive des glaciers (et de la banquise) bien sûr irrémédiables car elle devrait être due au CO2 émis plutôt qu’à une suite de ‘cycles naturels’… * Disparition massive des espèces (1/3 – 2/3 – 100% : où quand, comment ? Mesurée selon quelles méthodes auditables… jamais clairement dévoilées !)… * Les particules fines (carbonées ou microplastiques, etc.)… * L’alimentaire par l’agriculture ‘intensive’ ou ses produits dérivés industriels (rien ne vaudra le ‘bio’… le véganisme… les protéines d’insectes… ou de la viande artificielle !),… * Les ‘analyses locales d’air’ (faites sans guère tenir compte des vents ?)… * La ‘mobilité douce’ (donc lente?) grâce aux 2 pieds c’est ok , 2-roues ça dépend , électrique à 4-roues (ça réservera des déconvenues, bien avant 2025-35 ; Qui cherche et acceptera d’exploiter le lithium en UE ?)… * Les risques de santé publique (ah la directive REACH de l’UE…) et bien sûr les pandémies qui vont et qui viennent (on en reparlera…), * Conservation de la nature … * L’autosuffisance alimentaire imaginée par les seuls ‘circuits courts’, sinon par l’abstinance aux produits importés,… * Mise sous pression insensée du monde agricole par des obsédés ‘bobos des villes’… *  Les placements financiers dits ‘durables’ (on en reparlera…), * Bien évidemment sans oublier un tarissement prochain des ‘ressources naturelles terrestres’… * Les migrations sud-nord présumées de seules ‘origines climatiques’… * Grèves pour le climat (Allemagne)… * Délinquance environnementale (en Wallonie et partout ailleurs)… * etc. etc.

[9] Métaux lourds et désinformation : difficile d’y échapper
Santé Publique France a publié des résultats plutôt rassurants sur l’imprégnation des Français aux métaux lourds. Mais la peur a pris le dessus.  Par André Heitz (ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite.) 


Ceci nous rappelant aussi l’épisode des « 13 parlementaires UE » associés à … Greenpeace qui firent déceler des ‘traces de glyphosate’ parmi leurs urines… en un scoop de communication politique habilement ciblée ! Ce ne devait pas être la pollution liée à la qualité des « cantines » de l’UE, réputées pour leur Top-qualité!

Une réflexion sur « L’ANTI-SCIENCE et névroses induites dans notre société ‘désinformée’ »

  1. Une illustration supplémentaire des distorsions « psycho-politiciennes » pratiquée par certains milieux ‘scientifiques’ nous est donnée dans l’article récent d’André Heitz (ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite) :

    [[ Sus à la science « capitaliste » ! Une chasse aux sorcières a lieu dans le milieu de la recherche contre des personnes accusées de faire partie d’une « science capitaliste ».

    Faisons le lien avec l’excellent – et déprimant – « Politiquement correct à l’université : danger sur la science » de M. Marcel Kuntz, publié ici le 25 octobre 2021…

    David Romps a démissionné de son poste de directeur du Centre des Sciences Atmosphériques de Berkeley (Berkeley Atmospheric Sciences Center – BASC) et s’en est expliqué sur Twitter.
    En septembre dernier, le Département des Sciences de la Terre, de l’Atmosphère et Planétaires du MIT (MIT Department of Earth, Atmospheric and Planetary Sciences – EAPS) avait annulé une conférence en raison des opinions politiques de l’orateur.
    M. David Romps a demandé au personnel enseignant s’il pouvait inviter ce chercheur, qui produit un excellent travail, ces prochains mois pour présenter l’exposé qu’il avait préparé et, en l’invitant dès à présent, réaffirmer que le BASC est une organisation purement scientifique et non politique. Les réponses ayant été peu claires, M. David Romps a préféré remettre son mandat.

    Au-delà de l’appauvrissement de la démarche scientifique, M. David Romps a opiné :
    « Plus largement, une telle exclusion signale que certaines opinions – même bien intentionnées – sont interdites, ce qui accroît l’autocensure, dégrade le discours public et contribue à la balkanisation politique de notre pays. » ]]
    (suite via le site) :
    https://www.contrepoints.org/2021/11/03/410481-sus-a-la-science-capitaliste

    Une fois de plus, on y notera le matraquage en style « d’inquisition » dont se rend coupable le journaleux thuriféraire du GIEC, haut adepte des COPxx … Mr Stéphane Foucart ( = dans la gazette ‘scientifique’ Le Monde…) !
    Un article assorti de quelques commentaires anticonformistes (en bas de pages)!
    Triste destin que celui de la rigueur et du rationalisme ?

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