Corruption intellectuelle et politique: un mélange ravageur !

par Emmanuel Simon, quelque part dans une UE qui tend à chavirer,
10 septembre 2021

1/ Cadrage de l’assertion

En portant un regard à 360° sur les événements de ce début XXIe siècle, chacun peut s’interroger sur l’état futur du globe et l’avenir de nos cultures. On y parle de « mondialisation – globalisation », depuis des décennies : sur quels rationnels doit-on l’accepter aveuglément, sans vouloir interagir ? 


Edgard Morin décrit que notre contexte social planétaire est et restera « complexe ». Assurément ! En outre, dans la vie, rien ou peu ne se passe sans devoir tenir compte d’effets liés à la géopolitique.
Jean Piaget (biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse) aimait quant à lui le concept-clé de la « transdisciplinarité »… 

Des perceptions ci-dessus, il est inadmissible d’imposer des façons de penser et de vivre qui soient  «  indifférenciées », parce que ça ferait trendy et conforme aux idées dominantes ! Or chacun constate qu’il s’est actuellement développé un mimétisme comportemental douteux en termes d’orientations et décisions prises sur la conduite de la « chose publique » à l’échelon UE et/ou plus global.

La sphère médiatique soutient aisément un sens du ‘politiquement correct’ et elle use vite du slogan ‘consensus’… quels que soient pourtant ce contexte global <=> régional et/ou les domaines scientifiques qu’il importe de couvrir ! Tout doit-il ainsi nous descendre du seul ciel ? Mais de quel dieu céleste ? 
* Serait-ce le mantra climatique RCA/AGW fixé par les alchimistes « intergouvernementaux » du GIEC ? Or que notre climat mondial reste tellement insaisissable et que les mesures adoptées par eux paraissent si bancales ? Faut-il continuer d’accepter ces options politisées sans avoir encore réussi à démontrer formellement leurs conséquences envers autrui, au-delà de diffuser leurs spectres anxiogènes sortis de quelques dizaines de « modèles prospectifs 2100 » ? 
* Serait-ce, en matière de SANTÉ, grâce aux seules vues d’une poignée d’experts politisés (ce Dr Fauci aux USA ; des Comités disparates au sein de l’UE), voire encore par une poignée de prescripteurs mondiaux tels un B. Gates, en matière de sa ‘prophylaxie mondialisée’ & d’autres intérêts touchant le BIG pharma) ? 
* Serait-ce de surcroît selon les seuls choix économiques et énergétiques laissés aux mains d’idéologues verts, activistes influents et ceux des intellectuels tendance altermondialistes, ces gens adoubés par les thèses d’un trio de penseurs ‘à la Piketty-Stigliz-Krugman’ ? 

Des choses vitales et complexes exigeraient plus de discernement parmi les décisions à prendre. Tant de flous ambiants ne peuvent rester sans des réponses plus rationnelles et claires… L’article questionnera donc une certaine actualité assez altérée, quand elle se double « d’attelages scientifico-politiciens » étonnement étroits ! 

2/ Observons l’état actuel du concept de la « corruption » ?


L’étymologie du mot CORRUPTION [1] semble aussi vieille que nos cultures, grecque et latine. L’histoire nous révèle que son dessein était – et il le reste – la conquête d’un POUVOIR, celui politique ou celui commercial, liés à l’argent, sans négliger là une dimension d’orgueil démesuré qui anime leurs ‘postulants’ en quête de commettre de tels actes. L’abomination – morale et sociétale – réside dans l’ampleur des méfaits occasionnés ensuite sur les populations… par cet objet initial.

A l’époque contemporaine le foisonnement d’idées, de thèses, et de découvertes ajoute de nouvelles motivations, mais celles-ci convergent vers les mêmes axes de pouvoirs. L’observation de nos réalités internationales engloberait-elle quelquefois des actions touchant le couple scientifique (la R&D), plus celui de desseins politiques ? S’agirait-il là d’une honnête tentative de « protection de la propriété intellectuelle » (ici) ? Nullement, pensons plutôt au mot conquête ! Chacun de nous sait en identifier des exemples contestables. 

Figure 1: Empruntée à https://www.oecd.org/corruption/acn/

* Si l’actualité nous instruit souvent de corruptions économiques (p.ex. en entreprises), le code pénal comporte à cet égard maintes dispositions (il y a fraudes et sanctions potentielles). Parfois aussi, la corruption touche crûment la sphère publique et celle du politique ! Nos lois en distinguent deux formes. D’une source ‘Dalloz’ : [[La corruption passive est le fait pour un agent compétent de se laisser « acheter » pour accomplir ou ne pas accomplir un acte de sa fonction. La corruption active est le fait pour une personne de rémunérer l’accomplissement ou le non-accomplissement d’un tel acte par l’agent compétent]]. Voir ici

* Il nous vient vite à l’esprit les cas d’une puissance financière mondialisée et ses liens flous ou avérés d’avec la politique. L’esprit de conquête assorti de compétition y est certes un stimulant utile, mais jusqu’à certaines limites. Limites qui se lient aux comportements « d’individus catalyseurs », puis par extension à ceux de groupes affiliés (dont ceux des médias et réseaux). En situation d’une concurrence exacerbée entre des projets/actions, les risques de dérapages s’en trouvent accrus, mais ils sont difficiles à déceler et à contrôler. Les exemples en sont pourtant multiples sur les « marchés » … autant qu’entre « les pouvoirs décideurs », ceux de tous ordres !
Aux USA, dès les années ’80s, un Richard D’aveni avait théorisé le thème « Hypercompetition », avec des stratégies conçues ad hoc et les perspectives assorties de puissance distinctive. Depuis lors c’est à l’échelle du monde entier que se vivent les formes d’hyper-concurrence, en divers domaines (entre autres celui de la science ?). Les pouvoirs étatiques et de niveaux « supra-étatiques » s’y trouvent entremêlés, sinon même parfaitement confondus…  Suivons l’actualité internationale ?

* En matière de sciences et de technologies, parmi les disciplines dites ‘sociales’ ainsi que celles ‘dures, de sciences appliquées’, il est fréquent de lire les mots ou des slogans d’innovation, connexes au terme « CONSENSUS scientifique » tant médiatisé en matière de choix et d’opportunités. [2] 
N’est-il pas bizarre de lire cette « quasi-unanimité de vues » ? Où reste alors la nécessité et le droit au doutele devoir d’exercer un sens critique, ceci face aux complexités ambiantes et à des flous qui subsistent nécessairement parmi le foisonnement de thèses et de « certitudes proclamées » ? Une simple consultation linguistique nous définit pourtant que : 
Wikipédia : [[ Un consensus est un accord des volontés sans aucune opposition formelle. Le consensus se distingue de l’unanimité qui met en évidence la volonté manifeste de tous les membres dans l’accord.]].
Au Larousse, article n° 18357 : [[ CONSENSUS : 1) Accord et consentement du plus grand nombre, de l’opinion publique : Consensus social.  Ou mieux : 2) qui consiste à dégager un accord sans procéder à un vote formel, ce qui évite de faire apparaître les objections et les abstentions.]]

Les procédés politiques du XXIe siècle entremêlent les facteurs précédents, tandis que leur ‘communication’ tendrait vite – au sens psychologique – à subjuguer et/ou à subordonner les populations au travers du monde ! Les grands acteurs publics et leurs procédés viennent encore de trouver un terreau fertile sous les vagues des dernières pandémies « coronavirus ». 
Or ce n’est pas le seul domaine de risques à portée sociétale (pour la santé et sous d’autres aspects, dont économiques)… Ainsi ce matraquage médiatique d’un « dérèglement climatique » qui s’est immiscé partout dans la vie publique. 
Qui dit dérèglement laisse penser à un « climat fonctionnant tel une horloge ou une machine, mal huilée ou mal réglée ». Climat réparable au choix par de divins mécaniciens de l’atmosphère (Éole?) ou des eaux (Océanos?). En langage politique, traduisons : faut ce qu’il faut en terme de moyens (à trouver n’importe où, quitte à s’endetter sans limites)… sans appréhender toutes les conséquences !  
Une question pourtant ouverte, est vitale : où resterait le rayonnement du dieu Râ parmi toutes les supputations de nos chers climatologistes GIEC à l’esprit bourré de certitudes ? Lire sous 3.2. ?  


Ces leitmotivs s’exercent vers les foules, par vagues coordonnées, au caractère fort anxiogène. Vagues qui se doublent de subtils procédés d’intimidation envers chaque ‘contrevenant au flux des propositions mainstream‘. Pressions assorties -quand il le faut- d’une distorsion des faits réels, grâce à des chiffres habilement filtrés ou à un exposé partiel des facteurs vraiment influents !!  

Figure 2 : Empruntée à How to explain climate change? With comic books (ici)

* Ainsi le découvrons-nous à nouveau au travers du (6e) rapport du GIEC (ONUsien), où le ‘ I ‘ signifie « intergouvernemental » ! Les institutions supra gouvernementales (ONU-OMM-OCDE-etc), plus toutes les agences de presse (donc, nos médias, souvent aveuglés) véhiculent cette dernière forme de tromperie politisée, faits dignes de la pseudoscience. Lire des réactions ? [4] 
Jusqu’à devoir lire des ambassadeurs (ceux d’Italie et G-B) s’aventurant à affirmer (journal LLB 28/07 en p.43) : « La COP26 est notre dernier espoir ». [[ c-à-d : appels à mobilisation des pays et des rues.. // cap zéro émissions 2050.. // protéger peuples et la nature.. // mobiliser des fonds de 100 milliards $ par an.. // en collaboration… avec Youth4Climate..]]. Soit des tournures pathétiques émises par la diplomatie pour l’activisme aux objectifs délirants p.r. à un nécessaire pragmatisme ! 

* Qui échapperait à la grossière influence du GIEC ? Certainement pas nos instances gouvernantes de l’UE du Green Deal à 1.000.000.000.000 d’euros… ni les organisateurs de cette prochaine COP26. Pas plus que certaines « institutions scientifiques subsidiées » qui adoubent l’agitation sous un vernis « nouvelles études sérieuses » … Ouch ! Jusqu’où va se nicher leur recherche future ?? 

Le combinat de ces deux faisceaux (la science ET la politique), assortis des traits habituels de la cupidité humaine en passant par des réseaux de connivences mondialisés, constituent un mélange détonant… sur les esprits, particulièrement chez nos jeunes et les gens les moins avertis ! [5]

3/ Un concert mondial d’experts tente de rectifier les dires

3.1. Il est p.ex. heureux que plusieurs académiques francophones belges osent dénoncer au grand public une volonté (idéologisée) de vouloir IMPOSER un mutisme aux chercheurs ne se conformant pas aux idées « mainstream ». L’appel fut publié ce 18-08-2021 sous :
« Prendre de bonnes décisions nécessite un débat public ouvert »
[[ Carte blanche de Vincent Laborderie (UCLouvain), Christine Dupont (UCLouvain), Irène Mathy (Université Saint-Louis), Elisabeth Paul (ULB), Bernard Rentier (ULiège), Erik Van den Haute (ULB), Nicolas Vermeulen (UCLouvain). Dont deux extraits : [[…Dans une tribune libre, ‘M. François-Xavier Heynen’ met en cause la légitimité des scientifiques à avancer des éléments scientifiques et à remettre en cause la doxa. Il y aurait beaucoup à dire sur les arguments avancés et leur légèreté, mais il nous apparaît plus utile d’aborder la thèse centrale qui consiste à intimer l’ordre de se taire aux scientifiques ayant des avis divergents. Cet élément est en effet bien plus essentiel que n’importe quel débat sur la question de savoir s’il faut ou non vacciner les enfants. …]]
[[…Pour revenir au fond du problème, M. Heynen parle de consensus entre les pairs. Or le fait est qu’il n’existe aucun consensus scientifique autour de la nécessité, ni même de l’utilité, de vacciner les enfants pour enrayer l’épidémie de Covid-19. ]] (suite sur le journal…)

Ce qui s’énonce ci-avant pour la santé publiquene doit-il s’appliquer aussi au climat ?

Revenons aux propos qui dénoncent les manoeuvres du GIEC « à la veille d’une COP26 ».

Figure 3 : Empruntée à https://agoodcartoon.tumblr.com/post/109685930795/ [[ the growing ridiculousness of the answers should make it easy for even the dumbest climate change denier to pick the right answer. a good multiple-choice test.]]

3.2. How much has the SUN influenced Northern Hemisphere temperature trends? An ongoing debate 

RAA – Research in Astronomy and Astrophysics – Vol 21, No 6 (2021) / Connolly
(Read the Abstract published by 23 Scientists from 14 countries + Chap.6 Conclusions and recommendations ? [3] ) : https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1674-4527/21/6/131/pdf

3.3. Rapport du GIEC : contrairement à ce qu’on dit, la situation est loin d’être catastrophique.  Par Nicolas Lecaussin. Un article de l’Iref-Europe
[[ Steve Kooninscientifique et ancien conseiller climat d’Obama, auteur d’un essai présenté récemment par l’IREF, vient de publier un article dans le Wall Street Journal dans lequel il fait un résumé du dernier rapport du GIEC qui est beaucoup moins catastrophique que ne l’ont fait croire la plupart des médias et des politiques. C’est important car ce rapport devrait retenir toute notre attention. Il sera un élément crucial lors de la prochaine Conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques qui se tiendra à Glasgow et où les dirigeants de 196 pays se réuniront en novembre. Voici les principales conclusions tirées par Koonin (suite…)]]. https://www.contrepoints.org/2021/08/16/403304-rapport-du-giec-contrairement-a-ce-quon-dit-la-situation-est-loin-detre-catastrophique

3.4. Les cataclysmes météo sont-ils « plus fréquents » à notre époque ?
Chronique météo par année (de 1780 à 2001) !  
https://www.meteo-paris.com/chronique 
[[ Guillaume Séchet :  Pour les médias, je suis expert météo, météorologue, météorologiste, prévisionniste, spécialiste évènements climatiques (tempêtes, cyclones, neige, canicules, vagues de froid…etc), présentateur météo, auteur de livres sur la météo, créateur et webmaster de 20 sites internet (et ses applications smartphone) dont meteo-paris.com et meteo-villes.com – Page Wikipédia et contact …]] 
Météo n’est pas climat, nous le savons ! Mais les catastrophes terrestres ne datent pas d’hier !

3.5.  Autre article pertinent : 
« Températures extrêmes et foehn – Démonter le mythe des ‘dômes de chaleur’ » Chercher des solutions aux ravages potentiels ?

4/ Chercher des solutions aux ravages potentiels ?

Comment « corriger » les tendances à développer des actes de corruption (intellectuelle ou autre) nous présente l’analogie avec « chercher une aiguille dans une botte de foin » !
Écoutons les voix d’ailleurs ?

4.1. Pourquoi la science se moque de votre opinion sur la vérité

Yves Laszlo (Directeur de l’enseignement et de la recherche de l’Institut Polytechnique de Paris et éditeur scientifique en chef de Polytechnique Insights  (21 juin 2021)
[[ En bref : * La montée récente d’une certaine méfiance envers la science décrédibilise les faits scientifiques, et va à l’encontre de son progrès. * Elle tend à accorder plus d’importance aux opinions individuelles – par définition subjectives – plutôt qu’aux faits, pourtant objectifs. 
* L’universalité des faits, et par conséquent la reproductibilité des résultats expérimentaux, devraient contribuer à réduire le scepticisme autour de la science. Contrairement à la méfiance, le doute au sein de la communauté scientifique est bénéfique pour la science car il permet de préciser notre savoir à mesure que l’on remet en question la démarche scientifique, les méthodes, les hypothèses, etc.]]. Voir ici

4.2. Comment l’anxiété anticipatoire nous conditionne-t-elle ?

[[ L’anxiété anticipatoire est un processus que nous réalisons au niveau mental, à travers lequel nous imaginons le pire qui puisse arriver face à une situation déterminée nous provoquant du stress ou de l’inquiétude. Par exemple, avant de passer un entretien d’embauche, vous pouvez imaginer qu’on va vous poser des questions gênantes auxquelles vous ne saurez pas répondre,que les mots ne sortiront pas de votre bouche et que vous finirez par être recalé-e en tant que candidat-e pour le poste.

L’une des conséquences immédiates de ce type d’anxiété est que nous cessons de nous concentrer sur le présent, en projetant sur notre futur des nuages noirs que nous ne pouvons faire disparaître, précisément parce que nous sommes incapables d’agir dans cet avenirL’anticipation est liée à des pensées catastrophistes à propos du futur. C’est comme si nous vivions dans un danger proche et constant et que nous devions nous protéger des possibles menaces futures. L’anxiété anticipatoire essaye de prédire le futur et l’empire (…) ]] .

4.3. Repousser la pratique du mensonge (et diffusion fake news), c’est rêver !

Des articles récents – dits d’origines scientifiques – lient les événements météo de l’été au « dérèglement climatique« … mais aucun d’eux n’invoque les phénomènes d’INSTABILITE (et en particulier ceux de la METEO). Or il suffit de retourner à cette discipline pour comprendre l’inexplicable ! Allons sur Météo-France (qui participe pourtant à la mouvance GIEC) ?
Tout savoir sur la météo, le climat et Météo-France : INSTABILITE(s) ? Sinon relire sous 3.5. ! http://www.meteofrance.fr/publications/glossaire/152374-instabilite

4.4. Sur un mode plus journalistique du RÉEL, apprenons à méditer sur les propos suivants ?
«  »Climate Is Unpredictable, Weather You Like It or Not!«  » By Frank Miele May 27, 2019

[[ They say all politics is local; so is all weather. (… ) I know, I know. Weather is not climate, and you can’t generalize from anecdotal evidence of localized weather conditions to a unified theory of thermal dynamics, but isn’t that exactly what the climate alarmists have done, on a larger scale, for the past 25 years? 
Haven’t we been brainwashed by political scientists (oops! I mean climate scientists!) to believe that the Earth is on the verge of turning into “Venus: The Sequel.” You know, catastrophic overheating from greenhouse gases, rising oceans, death and mayhem — oh, yeah, and the world ending in 12 years if we don’t ban carbon or something. (…)  
After all, who ya gonna believe? Al Gore or your own lying thermometer? , ici ]] 

Ajoutons, le commentaire d’un scientifique (dont je ne peux retrouver les coordonnées) : [[ Imaginer qu’une attitude d’amendement rectificatif soit possible parmi la cohorte des gens déjà compromis dans les sphères politiques et scientifico-idéologisées du GIEC… relève d’un combat des dieux. Leur glissement de déclarations ne se conçoit que par d’insensible touches noyées dans les milliers de pages des rapports successifs… sans altération fondamentale des dires destinés aux « décideurs » déjà mouillés entre l’incompétence scientifique et la compromission attribuable à des intérêts cachés !]].

5/ Conclusions partielles (et espérances à venir)

* L’histoire humaine foisonne de cas où la corruption a exercé ses méfaits. Le respect d’une éthique n’y a guère eu sa place. Un désir exacerbé de pouvoirs y joue le rôle de catalyseur. Parfois anodin, voire devenu profond et pervers, cet avilissement d’un être (puis d’un groupe entier d’intérêts) peut mener au pire sociétal. La frontière semble là parfois mince entre « la morale et l’amoral » !

* Par effets combinés de la portée géographique et la vitesse des communications, le phénomène des corruptions (y compris celles intellectuelles) s’est amplifié dans l’époque contemporaine. Les meilleurs « experts » peuvent parfois s’y laisser prendre !

* L’activisme à connotations idéologiques déborde toutes les règles de la rigueur ou la rationalité. On s’y autorise alors à faire fi de toute déontologie professionnelle, entre autres celle académique et/ou celle médiatique ! Le besoin de douter fait place là à (d’éphémères?) certitudes…
De la sorte, le sens de la responsabilité scientifique tend à s’estomper !

L’imbrication étroite de la politique et de la science – à tous les niveaux de pouvoirs – peut ainsi accentuer la corruption. Traversée par tous les courants politiques, fort sensible à (et courtisée par) des lobbies d’idées… dont entre autres ceux du GIEC, l’UE 27 et même la G-B ont adopté de coûteuses orientations, d’un vernis idéologique vert foncé. Face au reste du monde restant lui dans l’expectative; ceci pourrait-il façonner notre continent vers une république d’Absurdie en 2050 ? 

Figure 4 : Empruntée à guardian.ng [[ World leaders, green groups and influencers reacted Monday to a “terrifying” UN climate science report with a mix of horror and hopefulness as the scale of the emergency dawned on many.  ]] and Fig. 4′ ( UE – EEAgency) …

L’hyperconcurrence (sectorielle ou au sein de disciplines/groupes) peut engendrer des rivalités dommageables d’idées, d’actions et d’argent. Elle s’applique autant aux entreprises qu’à tous les pouvoirs publics, en ce compris aux ‘pouvoirs scientifiques’ !


* De nos rivalités politisées actuelles, que devraient juger des pères-penseurs de la science tels Henri Laborit (comportement humain..), François Jacobs (génétique..), Edward Lorenz (MIT – systèmes dynamiques; avec ses modèles météo.. en prémices de projections si peu fiables sur un climat ‘chaotique’ en dépit des modélisations actuelles du GIEC sur leurs horizons à long terme) ?  

* Des structures officielles anti-corruption existent dans nombre d’institutions… sans toutefois parvenir à en juguler les effets ; les causes en restent-elles trop profondes pour les corriger ? 

Figure 5: Empruntée à Kuala Lumpur Statement on Anti-Corruption St

* Appliquer correctement la transdisciplinarité entre groupes de chercheurs (hyperspécialisés) peut conduire à des résultats intellectuellement (et sociétalement) enrichis, plutôt qu’au travers du brumeux slogan « consensus » établi entre des intérêts assez disparates !!! 

* La santé publique et un développement harmonieux de nos sociééts resteront donc longtemps encore un objectif fuyant… notamment à cause de l’INCONSÉQUENCE de certains « décideurs » et de leurs « conseillers » malveillants (car idéologisés) !!!

6/ NOTES : 

[1]  CORRUPTION : Action de changer l’état naturel d’une chose en la rendant mauvaise, généralement par décomposition. Fait de se corrompre. État de ce qui est corrompu.  https://www.cnrtl.fr/definition/corruption

[2]  https://fr.wikipedia.org/wiki/Consensus_scientifique

[3] A new scientific review article has just been published on the role of the Sun in climate change over the last 150 years. It finds that the United Nations’ Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) may have been premature in their conclusion that recent climate change is mostly caused by human greenhouse gas emissions. 

The paper by 23 experts in the fields of solar physics and of climate science from 14 different 
countries
 is published in the peer-reviewed journal Research in Astronomy and Astrophysics 
(RAA). The paper, which is the most comprehensive to date, carries out an analysis of the 16 most 
prominent published solar output datasets, including those used by the IPCC.  (6p. , pdf)
http://www.raa-journal.org/raa/index.php/raa/article/view/4920/6080


[4]  AR6 (GIEC 2021) 
: Publication de réactions scientifiques pertinentes !

A lire sur https://www.science-climat-energie.be/from-outside-2/

• IPCC AR6 Focusses On “Absurd”, “Fairy Tale” Scenarios, Ignores Hundreds Of Publications, Major Factors. Notrickszone, 11 août 2021.

• The IPCC AR6 Hockeystick. Climate Audit, 11 août 2021.

• IPCC Enters “Into Thin Air”. German Scientists: IPCC “In A Hopeless Situation”…”Stained Scientists”. NoTricksZone, 10 août 2021.

• Climate Skeptic Bjorn Lomborg Excoriates Scientific Community’s Hysteria. 10 août 2021.

• ‘Green Fraud’ author: Goal of UN climate change report is to ‘scare everyone’. WUWT, 10 août 2021.

• Silly Season at the UN: 1989 vs. 2021 Climate Doomsday (it’s all politics now). WUWT, 10 août 2021.

• IPCC report ‘not a proper scientific document’. Notalotofpeopleknowthat, 10 août 2021.

• The IPCC Summary For Policymakers. Notalotofpeopleknowthat, 10 août 2021.

• Rapport du GIEC : entre verdissement observé et brunissement fantasmé. Mythes mancies et mathematiques, 10 août 2021.

• Pielke Jr. on AR6. WUWT, 9 août 2021.

The IPCC’s attribution methodology is fundamentally flawed  (18 août 2021)
http://apreat.ovh/the-ipccs-attribution-methodology-is-fundamentally-flawed/

Comme un seul homme (femme), on note à l’opposé  » le concert des certitudes académiques convaincues » cercles d’obédience au « consensus GIEC » sous p.ex.: 

https://www.sciencemediacentre.org/expert-reaction-to-the-ipccs-working-group-i-contribution-to-the-sixth-assessment-report/ Cercle où il importerait de bien noter la ‘vocation’ des éminences représentées au sein du panel d’opinions ???

[5] Valeurs actuelles, numéro Hors série – Grands débats N°3, 
intitulé : « Écologie, la nouvelle religion » (juillet 2021, 106 pages)


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