par Ludwik Budyn, Licencié en Sciences Chimiques, Université Libre de Bruxelles
L’unique aspect positif du communisme était sa vision optimiste.
Moyennant un nombre suffisant de têtes coupées il prétendait réaliser une utopie où la félicité générale régnerait sur terre. Évidemment les mesures radicales utilisées pour y arriver étaient soigneusement dissimulées et, pour le monde extérieur, il se targuait d’être un parangon de liberté et de tolérance.
Tout à son opposé, l’idéologie dominante actuelle, l’écologisme, nous promet une dystopie terrifiante à laquelle peu échapperont.
Mais ici pas de dissimulation. Les moyens qu’elle entend utiliser sont largement décrits. Personne ne pourra prétendre être surpris du résultat.
Un de ces sinistres projets dont on parle peu est celui des « villes de 15 minutes »[1].
Il s’agit d’une division de la cité en quartiers où tous les services, nécessaires à une vie sociale normale, seraient dispensés dans un rayon nécessitant un trajet maximal de 15 minutes[2], à pied ou à vélo.
Le principal promoteur du projet est le « C40 Cities Climate Leadership Group »[3], fondé en 2005 et dont voici la page d’accueil internet :
![](https://www.science-climat-energie.be/wp-content/uploads/2024/07/1-1.jpg)