par Wesley J. Smith, publié in The Epoch Times, 8 novembre 2023
« N’écoutez pas ce qu’ils disent, regardez ce qu’ils font » est souvent un bon conseil. Mais parfois ce qu’ils « disent » est précisément ce qu’ils ont l’intention de faire.
Comme dans ce cas : un fonctionnaire des Nations unies s’appelant Volker Türk vient de publier une tribune dans Nature – la revue scientifique la plus prestigieuse au monde – dans laquelle il propose de « protéger le droit à la science » pour lutter contre le « changement climatique ».
Avertissement SCE :
SCE a été créé il y a plus de 5 ans pour exercer une analyse critique dans le domaine de la science climatologique et dans le domaine énergétique. Le débat que cela implique n’a pas vocation à promouvoir la polémique pour la polémique. Mais force est de constater, que malgré un consensus qui ne veut rien dire (SCE) et des pratiques plus que douteuses dans des revues scientifiques de haut rang (SCE), la confiance dans les acteurs de la climatologie n’est plus là. Il suffit de parcourir les différents articles publiés dans SCE, dans de nombreux autres sites et différentes revues scientifiques pour se rendre compte que quelque chose ne va plus ou pas. L’article que nous reproduisons ici en est une belle illustration : un fonctionnaire (de l’ONU) sans compétence scientifique se place au-dessus de la mêlée et propose manu militari de supprimer tout liberté académique dans le débat de la climatologie.
Comme le dit l’auteur de l’article ‘M. Türk expose sa vision de la protection de la ‘science’. Son raisonnement paradoxal est risible’. Hélas ce qui n’est pas risible est le fait que la liberté scientifique de critiquer est de plus en plus bafouée, voyez en France (notamment ici et ici).
Espérons que la raison reviendra et que la proposition ‘risible’ de ce fonctionnaire se retourne contre lui, son institution et tous ceux qui refusent le débat.