L’hypothèse du réchauffement climatique

Confessions d’un climatologue : « l’hypothèse du réchauffement climatique est une hypothèse non prouvée » Un livre de Mototaka Nakamura

par JC Pont

Fichier pdf de l’article de JC Pont

Mototaka Nakamura est un climatologue de réputation internationale. Il a consacré sa vie à ce qu’on peut appeler la dynamique climatique, un chapitre central de la climatologie. La richesse de sa bibliographie et sa spécificité, avec une grande majorité d’articles publiés dans des revues àcomité de lecture, témoigne pour la compétence de son auteur.
Le plaidoyer qu’il nous propose ici est accablant pour la climatologie officielle et pour les thèses de l’obédience giécienne. Il vient s’ajouter à des centaines de plaidoyers semblables, émanant de chercheurs de premier plan. Après ça, comment oser parler de consensus des scientifiques ?

Au début de son ouvrage Nakamura écrit : (p. 1) « Au fur et à mesure que j’avançais dans mon étude du système climatique et de la façon dont il est représenté par les modèles de simulation climatique, mon inquiétude sérieuse au sujet du réchauffement climatique s’est progressivement transformée en scepticisme quant à l’hypothèse du réchauffement planétaire (…). »
Ces quelques lignes m’ont rappelé ma propre évolution dans l’étude des thèses climatologiques d’aujourd’hui, comme je l’ai précisé au commencement de mon livre.

L’ouvrage de Nakamura offre l’opportunité rare d’entendre un climatologue de premier plan expliquer en termes simples les raisons scientifiques de sa conviction climato-sceptique. Des convictions qui sont aussi les nôtres et qui sont partagées par des dizaines de milliers de scientifiques de par le monde. Qu’il existerait un consensus des scientifiques en faveur des thèses défendues et propagées par le GIEC est un mensonge inventé par les milieux de la climatologie officielle dans le but d’accréditer leurs thèses.

Dans son ouvrage, Nakamura passe en revue les éléments qui constituent la colonne vertébrale de l’ensemble de la démarche conduite en vue de prédictions relatives à l’évolution du climat : température du globe, nuages de basse altitude, niveau des mers et des océans, mouvement des glaciers, etc. Dans chaque cas il montre que les particularités et les complexités du système climatique empêchent toute prédiction sérieuse quant à son évolution.

Dans la troisième partie de cette Lettre 13, je présenterai des textes du GIEC lui-même – c’est-à-dire la plus haute instance de la climatologie officielle – qui confirment, voire amplifient, les propos désillusionnés de Nakamura, pour ce qui concerne les possibilités de prédiction en matière d’évolution du climat. De ces réserves considérables, pour ne pas dire rédhibitoires, pas un mot dans la littérature des milieux climatologiques ! Selon une règle tacite et canonisée, qui consiste à taire ce qui ne va pas dans le sens de la doctrine.

suite, voir le .pdf mentionné ci-dessus.

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