A propos des gaz à effet de serre

par Roland Van den Broek, Ingénieur Civil

En 2018 déjà, dans un article en deux parties (ici et ici), Georges Geuskens déclarait que la présence de CO2 dans l’atmosphère ne pouvait avoir aucune influence sur la température de la surface terrestre. En se fondant sur des données expérimentales, il expliquait qu’en raison de chocs inélastiques entre les molécules de l’atmosphère, le mécanisme de rétro-radiation imaginé par certains climatologues n’avait pas le temps de se mettre en place dans les basses couches atmosphériques et ne pouvait dès lors avoir aucune influence sur le climat.

Aujourd’hui, le mythe des gaz à effet de serre (GES) est plus présent que jamais. La croyance qu’une augmentation de la température soit provoquée par un mécanisme de rétro-radiation est toujours partagée par un grand pourcentage de la population.

Ce document ne considère pas que l’hypothèse de la rétro-radiation est absurde. Le rayonnement de fluorescence réémis par les GES a été observé à très haute altitude. Mais il montre que même s’il se produisait dans la basse atmosphère, ce mécanisme de rétro-radiation ne pourrait avoir la moindre influence sur la température de la surface terrestre.

Le raisonnement est très simple et à la portée de tous.

Il suffit de comprendre que le niveau de l’eau dans une baignoire ne peut être modifié par une pompe qui aspirerait son eau et l’y reverserait.

Pour accéder à l’article, voyez ici


Note SCE :

En quelques figures et comparaisons, l’inexistence de l’effet de serre imaginé par le GIEC est très clairement expliquée dans l’article.
Que personne n’y ait pensé plus tôt restera un mystère pendant longtemps. 

Une chose est sûre: demain ne sera plus comme avant.

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