‘Température moyenne globale’ et Etendue de la glace arctique : actualisation décembre 2023

Le site SCE met chaque mois la mise au point ou ‘update’ de la ‘température moyenne globale’ établie officiellement à partir des données satellitaires UAH. Les données de base et des informations complémentaires sont accessibles sur le site de Roy W. Spencer.

L’écart de température pour le mois décembre 2023 est supérieure de -0,08°C par rapport à celle novembre 2023. L’évolution de la température est de +0,14°C/décade depuis janvier 1979, soit 0,01°C/an. Egalement ici.

SCE a déjà discuté le non sens d’une ‘température moyenne globale’ (ici, ici et ici)

ARCTIQUE : décembre 2023

Le DMI (Danish Meteorological Institute) publie régulièrement l’évolution temporelle, mois par mois, de l’étendue de la glace de l’Arctique. Le site SCE met en ligne les ‘updates’ concernant cette évolution depuis l’update de septembre 2018.

L’extension de la glace arctique du mois de décembre 2023 est très légèrement supérieure à celle de décembre 2022.

Le site NDSCI donne également la même information.

Interactive Sea Ice Graph | Arctic Sea Ice News and Analysis (nsidc.org)

Egalement se reporter à Connolly et al. 2017 pour l’évolution à plus long terme (depuis 1900). SCE a également consacré une analyse sur le sujet (ici).

Egalement consulter SCE1/3-cryosphère , SCE2/3–cryosphère, SCE3/3-cryosphère et ici pour l’aspect géologique.

4 réflexions sur « ‘Température moyenne globale’ et Etendue de la glace arctique : actualisation décembre 2023 »

  1. Je suppose qu’il faut lire ligne 4, décembre 2023 (et non octobre 2023). Ceci étant le pic de fin 2023 a-t-il été prévu par les soi-disant « modèles climatiques » ? Comme celui de 2016 ? Bien sûr que non, ça se saurait…Les modèles ne prennent pas en compte les vrais facteurs qui sont bien différents et plus significatifs que le sempiternel effet de serre. Ces modèles, qui ne sont même pas recalés sur les mesures réelles (comme c’est le B A BA en physique), constituent une imposture et une fraude scientifique.

    1. Merci pour votre lecture attentive, c’est effectivement ‘décembre 2023’ qu’il faut lire, c’est corrigé. Pour les modèles vous avez raison…ils sont ‘fiables’ à 200-300% près selon le GIEC (cf. interview F. Gervais), et cela n’est jamais signalé aux médias.

      1. Le problème des « modèles climatiques » est qu’ils ne modélisent que l’effet de serre et non le climat.
        D’une part en ne modélisant que l’effet de serre sans modéliser ses contre-effets (par exemple accélération du cycle de l’eau donc augmentation de la couche nuageuse et donc diminution du rayonnement atteignant le sol, etc.), on modélise très mal l’effet de serre.
        D’autre part l’effet de serre ne fait que transférer vers l’atmosphère une partie du rayonnement solaire. Il n’est qu’une composante dudit rayonnement solaire. Il vaudrait mieux modéliser le rayonnement solaire avec ses multiples cycles, modulo des variations liées aux nombreuses et diverses positions de la Terre par rapport au rayonnement précité, sans compter les variations climatiques locales qui influent sur le climat « global », s’il existe, ou encore les éruptions volcaniques, terrestres et sous-marines. Et sans compter aussi les accidents extérieurs (comètes, astéroïdes), tel que le dernier accident en date survenu à -12800 ans à l’origine du Dryas Récent.
        Toutes choses que les modèles du GIEC méconnaissent totalement et qui font que la discipline scientifique climatique n’en est qu’à ses balbutiements, contrairement à ce que nous assènent de pseudo-scientifiques dont l’insolence est directement proportionnelle à leur incompétence (là le modèle est exact…).

  2. Zagros ,
    ne confondez pas climatologie et météorologie ; au Sahara il fait fait très chaud et il n’y a pas de nuages pour renvoyer les rayons du soleil
    Et puis quand vous dites que l’effet de serre ne fait que transférer vers l’atmosphère une partie du rayonnement solaire., cela me surprend ; en effet les GES retiennent plutôt une partie des rayons solaires dans la basse atmosphère avant de les envoyer vers l’infini dans la stratosphère
    Mais pour comprendre cela il faut savoir comment se transfert la chaleur : en gros , conduction , convection et radiation ; en gros les GES ralentissent la conduction comme nos fenêtres puisqu’ils sont plus lourd que O2 et H2, accélèrent la convection pour ce qui concerne H2O et libèrent les Infra Rouge quand plus personne ne s’occupe de ces rayons
    Après , comme vous dites , le soleil bouge , les planètes aussi et ne parlons pas des plaques terrestres ; mais bon on ne sera plus là pour en parler

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