par Guillermo GM, étudiant en physique à l’Université Catholique de Louvain
Depuis plusieurs années, l’ardeur de l’hystérie climatique, qui n’est pas prête de s’éteindre, se manifeste religieusement par de nombreux aspects, notamment par ses processions qu’incarnent les « marches pour le climat ». Les grèves climatiques, qui avaient disparu de la circulation depuis plus d’un an en raison de la crise sanitaire, reprendront de plus belle dès le vendredi 10 septembre à Bruxelles où les militants belges, français, néerlandais, allemands et luxembourgeois, menés par leurs Sauveurs comme notre chère Adélaïde Charlier, seront invités à se déplacer à vélo depuis leurs pays d’origine, afin de – disent-ils –… sauver le climat. Les marches se poursuivront, toujours dans la même ville, le vendredi 24 septembre avant d’atteindre leur apogée le dimanche 10 octobre par une manifestation de grande ampleur. Mais avant que les marcheurs ne clament haut et fort leurs illusoires revendications, mettons en lumière en prenant le cas de la jeunesse belge les caractéristiques principales de ces grèves et de leurs jeunes grévistes qui sillonneront d’ici peu les rues de Bruxelles.
- Une pseudo-grève… illégale !
- Une méconnaissance abyssale en science, climat et énergie
- Ils dissimulent de malhonnêtes motivations
- Se croient-ils vraiment crédibles ?
- Inutile scientifiquement
- Inutile socialement
- Inutile politiquement
- Les élèves violent les missions de l’école
- Conclusion