par Jean van Vliet(1) et Brigitte van Vliet-Lanoë (2)
(1) Master en Sciences et Engineering, Directeur retraité
(2) PhD, Directeur de Recherche CNRS émérite
INTRODUCTION
L’observation fin juin 2021 de températures approchant les 50°C, dans le bassin de Missoula en Colombie britannique et dans le Nord-Ouest américain à l’Ouest des Rocheuses, ainsi que la vague de décès et d’incendies de forêts qui ont suivi, ont déclenché une réaction médiatique importante et justifiée. Une fois ces événements passés, les activistes du climat et les médias ont commencé à les exploiter dans le cadre de leur démarche devenue habituelle d’exagération systématique et de déformation anxiogène de l’information: en effet, la COP 26 se rapproche, et le lobby environnemental et des énergies renouvelables tient à préparer le public au sacrifice de son bien-être et de son niveau de vie sur l’autel du climat, au bénéfice de ses projets et des aubaines allouées aux acteurs réputés vertueux.
Dans ce cadre, un nouveau terme est apparu, celui de « dôme de chaleur », présenté comme un phénomène ultra rare (millénaire) et résultant du Changement / Réchauffement climatique d’origine anthropique. Ce néologisme est erroné et injustifié : le but du présent article est de d’objectiver la discussion sur les très fortes températures observées en Colombie britannique et dans le Nord-Ouest américain et de dégager si possible une tendance générale.
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